dimanche 29 avril 2012
Fat killing, la guerre continue
Deuxième pot de crème fat killer terminé, deux mois et demi après le début de ma cure, on ne peut pas dire que ce soit la fête du slip mais on va dire que c'est mieux que rien: -3 cm au pneu, -4 aux hanches et -2 aux cuisses, c'est toujours ça de gagné, mais depuis le temps, je devrais être à -10 partout! Faut dire que je fais mes exercices mais pour ce qui est des plaisirs de la table, j'ai pas été très spartiate!
samedi 28 avril 2012
Pimm's & crumpets
Vue de ma chambre
Le jardin de l'hôtel Hempel, vu dans 4 mariages et un enterrement...
Notting Hill
Tenue de soirée:
robe Chabada Vintage,
sac Les Cakes de Bertrand,
chaussures Chie Miara,
broche Stardust Zurich
Aqua Kyoto
Petit-déjeuner du room service
Vitrine Illamasqua, Beak Street
Le jardin de l'hôtel Hempel, vu dans 4 mariages et un enterrement...
Notting Hill
Tenue de soirée:
robe Chabada Vintage,
sac Les Cakes de Bertrand,
chaussures Chie Miara,
broche Stardust Zurich
Aqua Kyoto
Petit-déjeuner du room service
Vitrine Illamasqua, Beak Street
Kiehl's @ Liberty
vendredi 27 avril 2012
A quoi ressembleriez-vous après un mois sans cosmétiques?
Lundi et mardi, j'étais à Londres pour le boulot. En rentrant, dans l'avion, j'ai lu le Daily Mail et me suis délectée de cet article que je suis jalouse de ne pas avoir écrit moi-même et qui constitue un excellent compliment à mes récents billets sur la Slow Cosmétique. Consciente d'être une accro, la journaliste s'est lancé le défi de passer un mois sans produits de beauté autres que ceux nécessaires à son hygiène. Soit pas d'après-shampoing ni de produits coiffants, pas de crème anti-rides, pas de maquillage bien sûr mais pas d'épilation non plus ni même de lait hydratant pour le corps. L'horreur... Voici à quoi elle ressemble après un mois:
Tout le monde lui demande si elle est malade, le facteur s'excuse de l'avoir tirée du lit à 16h (alors qu'elle était juste au naturel) et elle finit par éviter toutes sorties entre amies... Le seul qui ne semble avoir rien remarqué, c'est son mari, comme quoi, c'est vraiment pour soi que c'est le plus difficile à vivre. Blonde naturelle, la pauvre avoue ressembler à un oeuf mollet sans maquillage des cils et des sourcils. Sa peau se couvre de fines ridules et ses lèvres pèlent faute de Carmex... Elle semble avoir vieilli de 10 ans tout en ayant l'air une enfant avec ses ongles pas soignés et ses cheveux mous. Et surtout, elle a le moral dans les chaussettes et n'apprécie pas du tout le temps gagné le matin (perdu à trouver la force de sortir affronter le monde sans mascara) ni l'argent économisé (qu'elle estime à 40£, mais l'ex-belle avoue des habitudes de consommation esthétique extrêmes, lissage des cheveux, teinture des sourcils, extensions des cils, manucure, microdermabrasion etc, une vrai beauty addict). Bref, je ne sais quelle leçon tirer de cette beauty detox, si ce n'est de trouver un juste milieu? L'hydratation ne me semble pas un luxe, et une touche de rouge à lèvres et de mascara, ça change tout dans une journée. J'en fait souvent l'expérience, moi qui fait souvent l'impasse sur le maquillage le matin, mais c'est parce que j'assume et même entretient mon air évanescent. Oui, j'aime avoir l'air d'un fantôme, comme je l'ai déjà dit ici, je trouve épuisant d'être toujours au sommet de son potentiel. Et souvent, je n'ai pas envie qu'on me remarque alors je m'efforce d'être le plus transparente possible! Chacun sa routine!
Je reviendrais sur ces deux jours à Londres dans un prochain billet mais je voulais quand même vous montrer fièrement mes humbles achats. Quatre heures de shopping autour d'Oxford Circus et je n'ai - quasi - rien acheté. J'étais trop fatiguée pour avoir la fièvre acheteuse (alors que j'étais à Londres, putain!!!) et j'ai erré les mains dans les poches, Topshop, Urban Outfitters, Office, Schuh, Aldo, River Island, Marks & Spencer (j'ai acheté des crumpets et un Coca zero), Anthropologie (mon but ultime), Muji et Boots où je suis restée une heure devant les étalages de maquillage, essayant de me rappeler les marques que m'avaient conseillées mes copines blogueuses, perplexe devant les stands Benefit, Soap & Glory, Sanctuary, Too Faced (j'ai finalement acheté un mascara Rimmel à l'aéroport). De toutes façons, j'avais une toute petite valise cabin size pour deux jours et comme je devais ramener tout le matériel presse reçu à la présentation, je n'avais pas la place pour y glisser plus qu'un T-shirt (une robe d'été à la limite mais je n'en ai pas trouvée...). Voici donc mon butin: des semelles coussinets chez Topshop pour essayer d'avoir moins mal aux pieds (ça devient un vrai handicap) et trois paires de boucles d'oreilles avec des têtes de mort (visiblement toujours à la mode) chez Urban Outfitters et River Island.
Demain, quelques images (60 en fait) prises avec mon nouveau smartphone!!!
Tout le monde lui demande si elle est malade, le facteur s'excuse de l'avoir tirée du lit à 16h (alors qu'elle était juste au naturel) et elle finit par éviter toutes sorties entre amies... Le seul qui ne semble avoir rien remarqué, c'est son mari, comme quoi, c'est vraiment pour soi que c'est le plus difficile à vivre. Blonde naturelle, la pauvre avoue ressembler à un oeuf mollet sans maquillage des cils et des sourcils. Sa peau se couvre de fines ridules et ses lèvres pèlent faute de Carmex... Elle semble avoir vieilli de 10 ans tout en ayant l'air une enfant avec ses ongles pas soignés et ses cheveux mous. Et surtout, elle a le moral dans les chaussettes et n'apprécie pas du tout le temps gagné le matin (perdu à trouver la force de sortir affronter le monde sans mascara) ni l'argent économisé (qu'elle estime à 40£, mais l'ex-belle avoue des habitudes de consommation esthétique extrêmes, lissage des cheveux, teinture des sourcils, extensions des cils, manucure, microdermabrasion etc, une vrai beauty addict). Bref, je ne sais quelle leçon tirer de cette beauty detox, si ce n'est de trouver un juste milieu? L'hydratation ne me semble pas un luxe, et une touche de rouge à lèvres et de mascara, ça change tout dans une journée. J'en fait souvent l'expérience, moi qui fait souvent l'impasse sur le maquillage le matin, mais c'est parce que j'assume et même entretient mon air évanescent. Oui, j'aime avoir l'air d'un fantôme, comme je l'ai déjà dit ici, je trouve épuisant d'être toujours au sommet de son potentiel. Et souvent, je n'ai pas envie qu'on me remarque alors je m'efforce d'être le plus transparente possible! Chacun sa routine!
Je reviendrais sur ces deux jours à Londres dans un prochain billet mais je voulais quand même vous montrer fièrement mes humbles achats. Quatre heures de shopping autour d'Oxford Circus et je n'ai - quasi - rien acheté. J'étais trop fatiguée pour avoir la fièvre acheteuse (alors que j'étais à Londres, putain!!!) et j'ai erré les mains dans les poches, Topshop, Urban Outfitters, Office, Schuh, Aldo, River Island, Marks & Spencer (j'ai acheté des crumpets et un Coca zero), Anthropologie (mon but ultime), Muji et Boots où je suis restée une heure devant les étalages de maquillage, essayant de me rappeler les marques que m'avaient conseillées mes copines blogueuses, perplexe devant les stands Benefit, Soap & Glory, Sanctuary, Too Faced (j'ai finalement acheté un mascara Rimmel à l'aéroport). De toutes façons, j'avais une toute petite valise cabin size pour deux jours et comme je devais ramener tout le matériel presse reçu à la présentation, je n'avais pas la place pour y glisser plus qu'un T-shirt (une robe d'été à la limite mais je n'en ai pas trouvée...). Voici donc mon butin: des semelles coussinets chez Topshop pour essayer d'avoir moins mal aux pieds (ça devient un vrai handicap) et trois paires de boucles d'oreilles avec des têtes de mort (visiblement toujours à la mode) chez Urban Outfitters et River Island.
Demain, quelques images (60 en fait) prises avec mon nouveau smartphone!!!
dimanche 22 avril 2012
Polly n'aime plus Stephen King

Dans l'esprit de Rona Jaffe mais 20 ans plus tôt, voici l'histoire de Katey, dactylo dans un cabinet d'avocats de Manhattan à la fin des années 30. Un soir de réveillon, Katey et Eve, la jeune femme qui partage sa chambre dans une pension, rencontre le beau et riche Tinker dans un club de jazz. Une amitié triangulaire ambigüe s'instaure entre eux mais un accident de voiture va bouleverser leur destin. Eve est estropiée et défigurée et Tinker qui conduisait l'installe chez lui, dans son incroyable appartement de Central Park, pour soulager sa conscience. Intelligente et déterminée, Katey poursuit son chemin en recroisant de-ci, de-là, ses anciens compagnons de fête, et manque plusieurs fois ses retrouvailles avec Tinker. Entre la Grande Dépression et la Seconde guerre mondiale, l'Amérique vit une période qui transforme les banquiers en clodos et les dactylos en femmes d'affaires, sans suivre de règles. Celles qui sont évoquées dans le titre font référence aux "110 règles de bienséance et de bonnes manières dans le monde et dans la conversation" écrites par le jeune George Washington et retranscrites à la fin de ce roman. Pour se plonger dans les vestiges d'un temps révolu, au son de Cole Porter en buvant du martini. Définitivement mon roman rétro favori. Je partage d'ailleurs la passion pour la littérature de l'héroïne, qui y puise sagesse et divertissement, et j'ai foncé m'acheter son livre fétiche, Les grandes espérances de Dickens pour ne pas laisser la magie de cette lecture se dissiper trop vite!
Les règles du jeu, de Amor Towles, Albin Michel, 504 p.

L'année de mes peurs, de Noelle Hancock, Philippe Rey, 348 p.

Nous serons inséparables, de Julia Crouch, Presses de la Cité, 459 p.
Je me suis également plongée dans le dernier Stephen King, Nuits noires, étoiles mortes, quatre nouvelles du maître de l'horreur. J'ai lu la première en réprimant mon dégoût et apprécié le style de l'écrivain américain que je n'avais plus abordé depuis des années. L'art de distiller sur 182 pages un scénario qui tient en trois lignes (1922, un fermier du Nebraska tue sa femme devenue gênante avec la complicité de son fils et passe le reste de sa vie bouffé par les remords), et qui pousse très loin le registre de la cruauté et de la perversion humaine. La deuxième nouvelle parle d'un viol et j'ai abandonné dès que je l'ai compris, pas envie de vivre ça à travers les yeux d'un psychopathe. La troisième a un air de déjà vu quand un homme atteint d'un cancer incurable croise un marchand ambulant qui lui vend une "extension de vie", à condition de prendre ailleurs ce qu'il va lui offrir. Terrible, tout simplement, traumatisant même, au point que je n'ai pas voulu entamer la quatrième nouvelle de ce recueil sorti le mois passé chez Albin Michel. Brrrr, mais ce type est vraiment malade! Je dois dire que cela faisait longtemps que je n'avais plus lu un Stephen King, mais quand j'étais ado, j'ai dévoré la plupart de ses romans cultes, Cujo, Christine, Shinning, Carrie, Salem, Le Fléau, Dead Zone, Charlie, Simetierre, Ca, Misery, les Tommyknockers, La part des ténèbres, Bazaar, Jessie, Désolation, Dolores Claiborne et Rose Madder, le dernier pour moi, en 1997. J'ai lu aussi ses nouvelles Brume, Minuit 2 et Minuit 4, et les romans écrits sous le pseudo de Richard Bachman, La peau sur les os (terrible!!!) et Les Régulateurs... J'ai aussi vu toutes les adaptations au cinéma... Mais là, je peux plus! Peut-être que j'ai mûri?!
vendredi 20 avril 2012
Peggy Sage à Lausanne, c'est mieux que gagner à l'Euromillion

D'abord, sachez que le vernis est une valeur refuge en temps de crise, le petit accessoire qu'on peut s'offrir pour trois fois rien (il y a des vernis à 5 balles et moins...) pour mettre un peu de couleur au bout de ses doigts et dans son quotidien. Bref, y'a pas que les it vernis dans la vie (suivez mon regard)... Que certaines marques dont j'entendais parler depuis longtemps sur la Toile sont disponibles en Suisse. L'arrivée de Essie a certes été largement relayée par les médias, mais je ne savais pas que China Glaze était en vente à Manor (le mur de présentation est impressionnant avec toutes ses couleurs flash). J'avais rencontrée Florence, la patronne du Nail Bar (2 adresses à Lausanne et 2 à Genève), jamais en retard d'une tendance, qui vient d'ajouter à son assortiment (elle avait Essie avant tout le monde et OPI depuis toujours) la marque Butter London, des vernis classe et rock'n'roll aux noms à l'humour british et garantis sans toluène, formaldéhyde et DPB (un phtalate). J'ai appris au passage qu'OPI avait également allégé ses formules de ces substances chimiques indésirables, même si elle ne le communiquait pas beaucoup. Mais surtout, j'ai découvert que la marque Peggy Sage, au nom délicieusement rétro qui ne peut que plaire à Polly Perkins, était en vente à La Boutique du coiffeur, un magasin assez grand qui vend toutes sortes de produits pour les cheveux mais aussi pour les ongles. J'y avais d'ailleurs découvert la gomina de Mr Ducktail, que nous avions ramenée de Londres après que mon bonami se soit fait couper les cheveux chez le célèbre coiffeur de Carnaby Street. A Lausanne, cette bonne adresse est sise rue de l'Ale, je crois qu'à Genève il y en a deux, rue de Lausanne et au Petit-Lancy, ainsi qu'une enseigne à Montreux. On y trouve donc un vaste assortiment Peggy Sage, mais aussi les accessoires Konad pour se faire des manucures "stamping" (un truc de ouf). J'ai choisi pour une première couleur un rouge classique comme je les aime, et deux produits pour suivre les conseils de Funambuline, une huile fortifiante et un diluant. Elle m'a assuré que si je me massais tous les jours le contour de l'ongle et surtout la matrice, à la naissance, ils cesseraient de se dédoubler et j'arriverai peut-être à me guérir de mon toc! Et pour prolonger la vie d'un vernis, ça ne sert à rien d'y mettre du dissolvant, il faut mettre du diluant, trois gouttes et il est comme neuf. Je vais donc tester tout ça!

Demain, je vous parlerai de mes dernières lectures, sujet un peu moins futile, quoi que! Bon week-end!
vendredi 13 avril 2012
Les temps changent

En cosmétique, c'est pareil. On nous fait croire qu'on a absolument besoin de nouveaux produits chaque semaine et on nous vend du rêve. De plus en plus de gens expriment une opinion contraire et nous invitent à revenir à l'essentiel. J'ai découvert le blog de Julien Kaibeck qui défend dans ses vidéos une approche minimaliste de la beauté. Après le slow food, le slow sex, la slow life en général, on freine également sa frénésie de produits de beauté avec la slow cosmétique. L'image qui m'a le plus marquée dans son livre c'est quand même tout ce qui finit dans le tuyau d'écoulement de la baignoire et dans la poubelle de la salle de bains, cotons imprégnés de lotions diverses, lingettes démaquillantes pour ôter la couche de fond de teint qu'on s'est mis le matin, c'est quand même absurde, non?
Et je me rends compte que de nombreux sujets que j'ai traités ces derniers temps sont cohérents avec cette mutation. Faire ses cosmétiques soi-même, éliminer les sulfates et les silicones de ses shampoings, utiliser des huiles végétales et des eaux florales... J'avais rencontré il y a longtemps Cyrille Saura Zellweger, créatrice des produits Wild and Wise aujourd'hui exilée au Canada et j'avais adoré sa philosophie de vie (lire son livre Faire ses cosmétiques naturels, c'est facile, chez Jouvence). J'ai interviewé d'autres filles qui font leurs petites crèmes avec beaucoup de talent et tout près de chez nous (empreinte CO2 proche de zéro), comme Alexia à Gland, Sarah à Lausanne ou Alexandra à Bulle (visitez leur site et consommez sans modération, là!).
Comme je l'ai dit plus haut, le changement se fera avec ou sans votre consentement, c'est obligé, et c'est à mon avis en ça que consistera la fin du monde annoncée... pour dans 8 mois, aaaaaaaah!
Alors, ça vous parle, ça vous énerve, vous êtes prêtes à consommer moins?
samedi 7 avril 2012
E-shopping de printemps


Du coup, j'ai découvert Zalando, et ce fut la merde... Des milliers de chaussures et vêtements, des robes rétro pour trois fois rien, livrées sans frais et sur facture, retour sans frais également, c'est la fin de mes résolutions de moins acheter de fringues... Commandé trois robes de la marque Mint & Berry, trop contente. Des robes chemisiers, des robes en jeans, etc etc...









jeudi 5 avril 2012
Les meilleurs mascaras du monde


J'étais quand même contente de voir que je connaissais et approuvais la plupart des produits de ce hit-parade, dont voici le résumé.
1) Great Lash de Maybelline (le grand classique et le moins cher)
2) Diorshow Mascara (mon préféré)
3) Lancôme Definicils Haute définition (Lancôme est très fort en mascaras)
4) CoverGirl LashBlast Volume (testé mais je ne me rappelle plus très bien)
5) Benefit They're Real! (cf plus haut)
6) Clinique Bottom Lash Mascara (j'aime bien le High Impact, je ne connais pas celui-ci)
7) L'Oréal Voluminous (je ne le connais pas, dans la jungle des mascaras L'Oréal qui se valent tous)
8) Nars Larger than Life Volumizing Mascara (j'aime beaucoup cette marque mais on ne la trouve presque pas en Suisse romande)
9) Shu Uemura Ultimate Natural Mascara (pas dispo en Suisse, connais pas)
10) Guerlain Noir G (le dernier né, pas encore testé mais packaging trop lourd à mon goût)
Je suis étonnée de voir que malgré que ce classement soit américain (Harper's Bazaar sauf erreur), on connaît la majorité des marques. Mais ceci explique peut-être l'absence des musts que sont pour moi YSL et Helena Rubinstein... Aucun mascara bio ou dermato (Respectissime de La Roche Posay, trop français I guess)
Et vous, vos mascaras préférés, vous y êtes fidèles, ou vous êtes toujours en quête du mascara parfait?
dimanche 1 avril 2012
BB creams, suite et fin






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