Je n'ai pas pu résister! Quoi, un post pour ça, tu exagères Polly?! Allez, c'est trop glamour! Spécial dédicace à toutes mes copines vieilles goth et nouvelles pin-ups: foncez donc à la coopé, c'est de là que ça vient! Parées pour la grippe A version girly? Ma nièce de 3 ans en est fan!
mardi 29 septembre 2009
lundi 28 septembre 2009
Bon anniversaire BB!
Petit hommage parce qu'à 75 balais, Brigitte a gardé la même attitude "j'm'en fiche, je fais c'que je veux" qu'à 18 ans! Merci pour elle, merci pour nous!
dimanche 27 septembre 2009
Top 3 des parfums de cet automne


En deux, je mettrais Vintage de Kate Moss parce qu'étonnamment, tous ses jus sont délicieux. Je déteste les pafums de people, 9 fois sur 10 ratés et purement marketing, mais là, je dis oui! Faut dire que la rebelle anglaise réussit tout ce qu'elle fait alors qu'elle semble tout le temps sur la corde raide. Bref, encore un jus intéressant, sophistiqué, original et facile à porter, dans un flacon d'inspiration rétro, un sans faute quoi!
En dernier je placerais le nouveau Givenchy, Ange ou Démon le secret, qui n'a rien à voir avec l'original Ange ou Démon, un tue-mouche de luxe. Cette version incarnée par Uma Thurman est délicate, poudrée, féminine et envoûtante. Je prends aussi! J'oublie par contre le nouveau Guerlain, le Cacharel, le Hugo Boss et surtout le Marc Jacobs, un pot-pourri de fleurs comme à son habitude! Désolée!
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mardi 22 septembre 2009
Spa, pluie et autres considérations climatologiques

dimanche 20 septembre 2009
Masque guimauve
jeudi 17 septembre 2009
Dans les grands yeux bleus de Zooey
Parfois, je me demande si j'aurais été plus heureuse dans les années 50. Certainement que non, mais en attendant, je ne me lasse pas de fantasmer sur cette période mythique. Et je me délecte du clip de Zooey Deschanel, tiré de son prochain film 500 Days of Summer. C'est elle qui chante, si jamais! Allez hop, une queue de cheval, un petit bandeau, un cardigan brodé de perles, une jupe virevoltante et le moral remonte!
jeudi 10 septembre 2009
J'ai dormi à la Clinique La Prairie (3)
Encore troublée par ma discussion avec Dr Wälli (le médecin chef de la clinique), je me rends à mon rendez-vous suivant dans les cuisines. Le chef Jean-Bernard Muraro, découverte de l’année 2003 avec l’Atelier Gourmand du Louis à Lausanne, 14 points au Gault & Millau, m’explique le plaisir qu’il a à mitonner des menus raffinés et diététiques, adaptés au régime de chaque «patient», sans gluten, sans lactose, sans ail etc… Du sur-mesure gastronomique!
J’expérimente dans la foulée son menu de midi léger (succulente soupe froide à la tomate, bourride de lotte puis coupe de framboises, glace vanille) en déjeunant sur la terrasse. J’observe à la dérobée les autres pensionnaires et me plais à imaginer leur vie, ici, sous le soleil de la Riviera vaudoise en cette fin août. Un couple de jeunes Chinois, l’air un peu coincé, un autre couple de Sud-américains plus âgés, plus snobs aussi, une jeune maman russe accompagnée d’une babouchka qui ne lui ressemble pas du tout (sa belle-mère?) et de deux nounous! Des hommes seuls, japonais, français, américains, jeunes, moins jeunes, l’air d’avoir réussi dans la vie…
Après le déjeuner, place à la partie active de mon séjour: un cours de Pilates avec Evelyne, impitoyable, puis une heure avec François, manager du spa et du fitness qui me fait un bilan «forme» comme pour tous les clients. Le test d’impédance mesure mes taux de graisse un peu partout dans mon corps puis un autre test sur un vélo indique mon niveau d’endurance. Je vous passe mes résultats lamentables, je ne suis pas là pour ça. Il me concocte un programme de remise en forme personnalisé et veut me revoir dans un mois. C’est cela, oui.
Dernière étape, un soin du visage très haut de gamme avec «repassage» de mes rides aux microcourants (trop trash pour mon fragile teint de porcelaine), projection de CO2 puis masque au collagène. Heureusement que Mireille l’esthéticienne a mis du Billie Holiday en musique de fond car je trouve le temps bien long et le traitement peu agréable. J’en ressors néanmoins avec la mine rosée et les traits détendus. Une dernière tasse de thé en peignoir et je rends les clés de mon petit paradis d’un jour. Me revoilà à l’arrêt de bus devant la clinique avec mon sac de voyage, des impressions plein la tête de ces étranges 24 heures au pays du wellness 5 étoiles. Et surtout la ferme intention de prendre d’avantage soin de moi!
J’expérimente dans la foulée son menu de midi léger (succulente soupe froide à la tomate, bourride de lotte puis coupe de framboises, glace vanille) en déjeunant sur la terrasse. J’observe à la dérobée les autres pensionnaires et me plais à imaginer leur vie, ici, sous le soleil de la Riviera vaudoise en cette fin août. Un couple de jeunes Chinois, l’air un peu coincé, un autre couple de Sud-américains plus âgés, plus snobs aussi, une jeune maman russe accompagnée d’une babouchka qui ne lui ressemble pas du tout (sa belle-mère?) et de deux nounous! Des hommes seuls, japonais, français, américains, jeunes, moins jeunes, l’air d’avoir réussi dans la vie…
Après le déjeuner, place à la partie active de mon séjour: un cours de Pilates avec Evelyne, impitoyable, puis une heure avec François, manager du spa et du fitness qui me fait un bilan «forme» comme pour tous les clients. Le test d’impédance mesure mes taux de graisse un peu partout dans mon corps puis un autre test sur un vélo indique mon niveau d’endurance. Je vous passe mes résultats lamentables, je ne suis pas là pour ça. Il me concocte un programme de remise en forme personnalisé et veut me revoir dans un mois. C’est cela, oui.
Dernière étape, un soin du visage très haut de gamme avec «repassage» de mes rides aux microcourants (trop trash pour mon fragile teint de porcelaine), projection de CO2 puis masque au collagène. Heureusement que Mireille l’esthéticienne a mis du Billie Holiday en musique de fond car je trouve le temps bien long et le traitement peu agréable. J’en ressors néanmoins avec la mine rosée et les traits détendus. Une dernière tasse de thé en peignoir et je rends les clés de mon petit paradis d’un jour. Me revoilà à l’arrêt de bus devant la clinique avec mon sac de voyage, des impressions plein la tête de ces étranges 24 heures au pays du wellness 5 étoiles. Et surtout la ferme intention de prendre d’avantage soin de moi!
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mardi 8 septembre 2009
J'ai dormi à la Clinique La Prairie (2)
Une heure plus tard, je rejoins Christine Gogniat, diététicienne, qui m’explique les secrets du régime La Prairie. Rien de magique en fait, juste l’application des règles simples de la diététique, une assiette composée pour la moitié de légumes, un quart de protéines et un quart de féculents, des produits variés et de saison. Pas de restrictions, cela ne marche pas, juste l’espoir d’inculquer de bonnes habitudes aux pauvres business men et women surmenés qui viennent ici retrouver un semblant d’équilibre. Je me promets pour la centième fois de les appliquer aussi et j’embarque deux semaines de menus types pour m’inspirer.
Moment fort de mon séjour, le Dr. Thierry Wälli, médecin-chef, m’accorde une heure d’entretien. Je brûle de lui poser mille questions sur cette fameuse «revitalisation», le traitement qui a fait la renommée mondiale de la clinique. Pratiquée depuis les années 30, elle a peu évolué mais ces bénéfices sont enfin prouvés scientifiquement grâce au Dr. Wälli. A l’époque, le Professeur Niehans pensait qu’en injectant des cellules issues d’un organe sain, on pouvait réparer un organe malade. Il a commencé avec des cellules de foie prélevées sur un fœtus de mouton, et c’est toujours le cas aujourd’hui. Et cela marche. Les patients traités constataient un bien-être général extraordinaire, une meilleure résistance aux maladies, un meilleur sommeil, appétit, mémoire, libido. Aujourd’hui ses effets sur le système immunitaire sont connus et documentés et environ mille personnes viennent de très loin pour suivre cette cure de jouvence chaque année. Ses effets durent un an et demi à deux ans et… les gens en redemandent puisque 70% des clients reviennent. Le Dr Wälli aime bien les digressions, il me parle de la grippe A, du Viagra et du dopage (il a été médecin sportif), mais revient toujours à sa chère clinique qu’il dirige depuis 19 ans. «Ce qui fait le caractère unique de la Clinique, c’est l’ensemble, le côté spa, hôtel de luxe et le suivi médical». Car le centre offre aux indigènes tous les services d’une clinique privée, avec huit spécialistes dans la maison, un équipement ultramoderne pour faire scanner, IRM, chirurgie, orthopédie, soins dentaires. On peut donc aussi venir ici pour une mammographie ou une pose de prothèse de la hanche et séjourner dans l’une des 20 chambres médicalisées.
(à suivre, les secrets du chef de cuisine, un déjeuner en terrasse puis une après-midi de soins)
samedi 5 septembre 2009
J'ai dormi à la Clinique La Prairie
Je débarque un lundi soir à 18 h, en bus depuis la gare (pas très VIP). J’ai à peine le temps de prendre possession de ma suite (un appartement un rien bling bling au dernier étage du centre médical) que Panipa m’attend au Spa pour un massage thaï. Elle me fait craquer comme dans la pub pour les chips, martèle mon dos avec ses coudes et me malaxe la nuque avec les poings. Comment une bonne femme aussi minuscule peut-elle me faire autant mal? J’implore sa pitié, elle rit. Le temps de retrouver mes esprits et c’est déjà l’heure de dîner avec Yael, l’attachée de presse de la Clinique depuis 7 ans. Blonde, athlétique, naturelle et pimpante dans sa robe turquoise, elle est à l’image de l’endroit, efficace sans artifice, compétente et sympathique. Nous choisissons nos menus sur des feuilles volantes: une rose pour le menu normal et une bleue pour les mêmes plats mais allégés, sur une base de 1200 calories par jour (contre 2000 pour le normal). Rosace de Saint-Jacques sur caviar d’aubergine au piment d’Espelette, brochette de kangourou au romarin, purée de vitelotte (pomme de terre violette), crème de soja au paprika, julienne de champignon et légumes, jamais la diététique n’a été aussi appétissante. Je me régale, avec bien sûr un dessert pour clore le festin, un palet de fraise avec velouté à l’orange. J’aurais bien prolongé la soirée avec un verre au bar mais à la clinique la Prairie, on se couche tôt et l’alcool est rare (mais pas interdit)! Je passe donc la fin de soirée à zapper sur des séries télé depuis mon lit à télécommande (pour remonter le dossier, surélever les jambes). (à suivre)
mardi 1 septembre 2009
Souvenirs en boîte
Evidemment, je n'ai pas résisté à la tentation de ramener des petites boîtes de crème rétro de Bristol, même si j'en ai déjà 100'000 et même si je n'avais pas enregistré ma valise (merci easyjet qui fait désormais payer les bagages en soute) et que j'ai dû feinter un peu avec le security control. Nouveaux donc dans ma collection: la crème pour les mains abîmées "eco friendly" de Cath Kidston qui sent bon le coton frais, le jasmin et la vanille, avec une texture vaseline amusante, la version cherry du fameux Carmex que je n'avais encore jamais essayée (délicieux) et une petit baume à lèvres à la fraise Rose & Co déniché chez Top Shop. Voilà!
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