samedi 23 février 2013

Les crèmes d'Adriana Karembeu, c'est bien?


Côté soin, j'ai fait beaucoup de découvertes surprenantes ces dernières semaines, à commencer par la gamme Silicium + d'Adriana Karembeu dont on m'a donné 3 minuscules échantillons après un soin au Medispa Le Secret, à Genève. Il paraît que le silicium, c'est la vie, mais franchement, je n'aurais jamais acheté une crème parce qu'elle est représentée par une personne connue (les égéries me font plutôt fuir, sauf quand c'est Dave Gahan qui conduit une VW Golf!) et en plus, cette couleur, pouah! Mais je dois avouer que les produits sont très biens.
Je me suis d'abord fait le gommage parce que ma peau a morflé à Paris le week-end passé et après une horrible réaction urticante, elle était toute granuleuse. Rien de spécial, un soin exfoliant aux grains assez grossiers. Ce qui m'a surpris, c'est l'odeur. Un truc que je connaissais par coeur sans réussir à retrouver exactement ce que c'était... Ca me faisait penser à un dessert, un flan vanille ou un truc du genre... J'ai mis ensuite le gel contour des yeux et la crème, qui avaient tout deux la même odeur, et j'ai trouvé: ça sent le Malibu ananas, je vous jure, c'est délirant! Bon heureusement, le parfum ne persiste pas parce que c'est moyen de dégager une odeur de cocktail, aussi exotique soit-il!
Le soin contour des yeux est en fait un sérum liftant, et non une crème riche comme j'aime pour cette zone si fine et si fragile, souvent déshydratée. L'effet lissant est visible, ça compense! Du coup j'en ai mis aussi sur la ride du lion et autour de la bouche pour réduire les lignes, pas mal! Et pour éviter la sensation de tiraillement, j'ai mis tout de suite le Soin délicat Visage, crème hydratante et apaisante pour peau sèche et sensible, PARFAIT! Confortable mais pas grasse, ma peau l'a absorbée avec bonheur. Surprise en bien, donc, mais pas au point de courir l'acheter, j'ai déjà tout ce qu'il faut sous la main en ce moment. Je ne sais pas vous mais franchement, parfois, je sature, il y a TELLEMENT de marques sur le marché, pffffff!

Je vois sur son site que la crème est à 57 euros, ça va, pas exorbitant mais bon, je pense qu'en Suisse, elle doit coûter pas loin de 100 balles! Ah, et j'oubliais, les produits AK ne contiennent pas de parabens ni phénoxyéthanol et sont cruelty free, pas mal quand même! On les trouve donc à l'institut Le Secret et à la parfumerie Theodora à Genève, sauf erreur. A tester si vous êtes en quête d'une bonne crème pour peau sensible!

vendredi 22 février 2013

Produits de beauté ramenés de Paris




Oui, j'étais encore à Paris la semaine passée, et je suis restée avec mon bonami pour le week-end, cette fois, l'événement! Du coup j'ai eu un peu de temps pour faire du shopping, et believe it or not, j'ai acheté des produits de beauté alors que j'en reçois à la pelle. Oui, mais... Ceux-là sont spéciaux, et introuvables ou plus chers en Suisse (même si je suis contre le tourisme d'achat qui revient pour moi à se tirer une balle dans le pied). Outre une paire de bottines super soldées dénichées chez André à 48 euros (pour du cuir!!!) et un parapluie pin-up vite rajouté à notre pique-nique à la caisse du franprix du coin, voici mes trouvailles.

Si je vous dis que j'ai fait 3 ou 4 boutiques à Lausanne avant de me rabattre sur Paris et de chercher désespérément un point de vente sur mon chemin, vous comprendrez peut-être à quel point j'ai désiré ces deux produits dont j'avais besoin (un exfoliant et une crème corps Le Ciel en soi de Miss Ferling) et que je pourrais sniffer leur parfum poudré à longueur de journée. Première mission beauté parisienne, check!


Le reste est moins intense émotionnellement, mais bon, j'ai quand même craqué pour la fameuse BB cream Erborian après l'avoir vue sur Le Révérencieux. Elle était à côté des Miss Ferling au Beauty Lounge du Marais, 32 euros contre 55 fr ici...


Ma chère Créaline que finalement, j'adore!

Une teinture 3 Chênes, sans résorcine, ammoniaque et compagnie, qu'on trouve ici au Sunstore mais pareil, elle n'était pas loin de la Créaline et du shampoing Cattier, donc hop, in the basket (dans une chaîne de produits parapharmaceutiques qui s'appelle Parashop).


Et donc le shampoing Cattier, paraît-il très très bon pour le cuir chevelu, dispo aussi chez Sunstore mais bon, il était sous mes yeux...

Je sais, vous vous en foutez de mes achats, vous voudriez que je les teste! Pas besoin, s'ils sont en ma possession, c'est qu'ils ont été approuvé (sauf la BB Cream, j'y reviendrai, promis)! Je reviens demain avec plus de news, suis un peu à la bourre aujourd'hui!

dimanche 10 février 2013

J'ai regardé les nouvelles séries TV girly

Voilà un petit moment que je ne vous ai pas parlé de séries TV... J'avoue que depuis Downton Abbey, j'ai bien dû trouver d'autres sources de ravissement vintage pour tenir jusqu'à la saison 4 (imminente, paraît-il). J'ai eu les 5 épisodes de Mildred Pierce généreusement diffusé par France 3 que j'ai adoré mais je suis restée sur ma faim, cela reste une mini-série... et c'est si triste, j'en ai été toute remuée...


La RTS nous fait aussi le plaisir de passer deux épisodes de PanAm le dimanche après-midi, je suis fan! Je croyais que c'était une série un peu mièvre qui racontait les histoires d'amour entre hôtesses et pilotes. Il y a en, bien sûr, mais chaque épisode a un vrai scénario qui parle de la guerre froide, des émeutes en Haïti ou de l'assassinat de Kennedy. On croche.


J'ai mis mon cerveau sur off pendant les vacances de Noël et me suis passée les deux premières saisons de Pretty Little Liars en streaming. Je pensais pas qu'on pouvait tenir aussi longtemps sur une idée aussi mince. Alison disparaît lors d'une soirée avec ses 4 meilleures amies qui commencent à recevoir des messages de l'au-delà signé A. un an après les faits, au moment où le corps de la jeune fille est retrouvé. Toutes ont une bonne raison de l'avoir tuée et des secrets inavouables qui sont peu à peu déterrés. Un Gossip Girl à la sauce I know what you did last summer, c'est très prenant parce qu'on a envie de savoir, comme dans Gossip Girl!!!! C'est assez gore et glamour à la fois, très teenage mais les grands auront du plaisir à trouver dans le rôles des parents Piper de Charmed, Chad Lowe et Laura Leighton (de Beverly Hills et Melrose Place).

J'ai essayé de regarder New Girl, avec Zooey Deschanel mais elle est vraiment trop insupportable et pas du tout crédible dans le rôle de la pauvre fille. Je zappe!


Mais ma préférée dans le tas est la fameuse Girls, de et avec Lena Dunham! Cette fille est folle et elle a bien mérité ses deux Golden Globes (meilleure série et meilleure actrice de série)! C'est très éloigné de moi, ces pauvres petites New-yorkaises de Williamsburg qui trouvent pas de boulot et ont des parents juifs trop bizarres, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai adoré. Leurs relations amoureuses sont improbables et leur amitié complètement loufoque. Hanna est donc joué par Lena elle-même et on comprend bien que le scénario ne doit pas être très éloigné de sa vraie vie (hum hum). Elle colloque (au début en tout cas) avec sa meilleure amie Marnie (quel prénom génial). Il y a encore Jessa, l'excentrique cousine anglaise délurée et Shoshanna, la coincée toquée. Caricaturale mais hilarant et efficace! J'ai regardé la première saison en streaming et chouette, il y en a déjà des épisodes de la deuxième.

Et vous, vous regardez quoi en ce moment?

vendredi 8 février 2013

Metabolic Balance, six mois après

L'été dernier, effrayée par la courbe ascensionnelle que prenait mon poids, j'ai suivi le programme Metabolic Balance et perdu 8 kilos. Une petite victoire sur les 20 kilos encaissé depuis mon entrée dans la vie professionnelle, mais une victoire réaliste dans une optique de stabilisation et de travail sur le métabolisme. Pendant ces quelques semaines, j'ai souffert un peu mais surtout appris beaucoup de choses, n'en déplaise aux nombreux commentaires mitigés que mes billets ont suscités. Quelques lectrices m'avaient confié qu'elles avaient quand même repris des kilos après, parce que le programme était trop frustrant. J'avais deux autres exemples de personnes qui avaient suivi ce programme avec succès et maintenu deux ans après leurs acquis. Voici mon feed-back 6 mois après.


Je peux dire que jusqu'à mes vacances au Mexique, je n'ai eu aucun problème à me maintenir, je ne faisais pas spécialement attention mais j'avais modifié quelques comportements quand même (y'a pas de miracle). Ce que je sais depuis le temps, c'est que la bouffe est liée aux émotions, et donc les kilos aussi. Avec ma nutritionniste, nous avons cherché des solutions pour que je ne sois pas frustrée, clé de la réussite d'un régime. Mais voilà, au Mexique, j'ai eu faim, j'ai eu de la peine à trouver de la nourriture satisfaisante, j'ai souvent sauté des repas et c'était vraiment la galère. Je n'attendais qu'une chose, rentrer pour pouvoir manger des bonnes choses. Et au retour, je me suis gavée. Puis je me suis ressaisie, mais j'avais pris deux bons kilos. Noël est arrivé et ce n'est pas ça qui a été le pire, car j'étais en vacances chez mes parents et la cuisine de ma maman est on ne peut plus saine et équilibrée. Non, la deuxième chose qui a foutu en l'air toutes mes bonnes résolutions, c'est le boulot, encore lui. Depuis début décembre, j'ai des nouvelles responsabilités et je travaille comme une folle. L'après-midi, j'ai des coups de barre et j'ai BESOIN de chocolat, de biscuits. Je rentre chez moi à 20h et je mange n'importe quoi, comme si ma vie en dépendait (ce qui est un peu le cas). Je n'arrive à faire les courses que le samedi et dès le mercredi, je n'ai plus rien de frais, ni légumes, ni viande, ni poisson. J'ai des déjeuners professionnels très souvent dans les meilleurs restaurants du monde et une vie sociale riche entre deux pour supporter la pression du boulot.


Concrètement, ma semaine type: lundi, filets de perche avec frites et sauce tartare au Château d'Ouchy, mardi, resto le soir (j'ai réussi à faire léger, à part le Spritz et le vin rouge), mercredi, burger avec une copine enceinte qui avait envie de ça, jeudi, voyage de presse à Paris, j'ai eu l'immense honneur de manger chez Hélène Darroze, menu à 4 plats avec foie gras, pigeonneau, crème au chocolat, mignardises, Veuve Clicquot rosé, Château Margaux... Le lendemain, je déjeune avec une copine qui vit à Paris, elle m'emmène dans sa pizzeria préférée, argh! Samedi matin sur ma balance, je frise le poids maudit de 70 kilos.... J'ai le moral en berne, je suis fâchée avec mon reflet et je suis complètement dépitée, c'est une lutte sans fin...


Je reprends les armes: crème raffermissante, capsules drainantes et j'accepte de tester une nouvelle méthode pour le boulot qui tombe à pic, KitchenDiet, le régime gastronomique. Des petits plats mitonnés par des chefs mais qui ne dépassent pas 1200 calories par jour (pour la version Starter) qu'on m'a livré en barquettes à passer deux minutes au micro-ondes. J'ai commencé hier soir avec un plat de lasagnes végétariennes, un truc cool pour ne pas plomber mon moral déjà pas bien vaillant... Ce n'était pas mauvais, même si l'image est plus alléchante que le plat lui-même. C'était frugal et c'est bien ça le secret: la quantité. Je ne pense pas que mes lasagnes soient spécialement plus riches, c'est juste que je mange quatre fois cette portion en temps normal... Ce matin aussi, j'ai picoré mon müesli avec un yogurt nature en rêvant au jambon et au fromage que j'ai droit avec Metabolic Balance!!! Allez, je teste une dizaine de jours, dans la mesure du possible de mon agenda, mais ça va être compliqué: vendredi prochain déjà, je retourne à Paris!

lundi 4 février 2013

La poisse existe-t-elle vraiment ou est-ce une vue de l'esprit?

Le sentiment de bonheur ou de malheur est-il subjectif? Je me pose souvent cette question. Mon bonami dit que je suis une horrible pessimiste, ce que je ne conteste pas. C'est une façon de me protéger des déceptions inévitables de la vie, comme ça, je suis surprise en bien, mais c'est vrai que je pars souvent perdante. Je déteste les gens qui se plaignent tout le temps, et je pense que moi la première, on pourrait avoir envie de me donner des claques quand je raconte mes "malheurs", ce que j'essaie toujours de faire avec humour. Mais j'ai quand même l'impression qu'à chaque fois que je pars en voyage, je cumule les retards, embrouilles et autres contretemps pas toujours drôles.

 

Là par exemple, je rentre de Paris où j'ai assisté à la présentation du nouveau parfum Roger & Gallet. Vous le savez maintenant, je suis habituée à ces sauts de puce d'un jour dans la capitale française, au pays du luxe et de la volupté. Cela peut paraître ultra glamour et très enviable, mais ce n'est pas sans contrepartie. Je dois travailler plus avant et après pour m'absenter du bureau (personne n'écrit mes 3 à 4 pages hebdomadaires quand je ne suis pas là). Je me lève tôt et me tape en général une belle insomnie parce que j'ai peur de rater le train, de ne pas avoir la bonne tenue, de foirer mon interview (oui, cela reste du travail et c'est stressant). D'ailleurs ce n'est pas un hasard si je n'ai rien écrit ce week-end, je suis morte de fatigue. Et pour cause: les éléments étaient contre moi une fois de plus. Je vous laisse juger...

Je suis partie jeudi matin en TGV depuis Genève. Peu après Macon, notre train s'est arrêté en pleine campagne pour une panne indéterminée. J'ai plus ou moins l'habitude. Après 40 minutes à attendre une solution, il a été décidé que nous retournerions en marche arrière jusqu'à Macon pour changer de train, le nôtre n'ayant plus de freins! Transvaser les passagers d'un train complet n'a pas été facile et une personne a été blessée dans la panique, il a fallu faire venir les secouristes. Les annonces se sont succédées au micro et nous sommes finalement arrivés à Paris gare de Lyon avec 2 heures de retard. Sur un trajet de 3h, c'est pas mal. Du coup, j'avais 30 minutes pour me rafraîchir et me changer dans ma chambre d'hôtel, sauf que la réception m'a donné la clé d'une chambre déjà attribuée (y'avait les affaires d'une autre personne dedans!), j'ai perdu encore 5 minutes et j'ai été assez désagréable parce que j'avais faim (avec tout ça, j'avais sauté le déjeuner, grrrr). Je pensais mettre un jupe mais en enfilant mes collants, j'ai vu qu'ils étaient filés, grrrr. J'ai remis mon pantalon.

 

Bref. La conférence s'est bien passée, le jus est très réussi, les petits fours aussi (en haut du foie gras et en bas, un truc dingue au basilic). L'interview du parfumeur était un peu rocambolesque mais comme je ne vais pas vraiment la publier, ce n'était pas grave. La soirée était on ne peut plus charmante, au restaurant d'Hélène Darroze, où dînaient entre copines Salma Hayek et Julianne Moore (elles sont sublimes en vrai, si fraîches, si naturelles, si jeunes et jolies!). J'ai vu sur Internet qu'elles avaient tourné ensemble le dernier épisode de 30 Rock, ceci explique leur amitié.

 

 

Après une courte nuit, je me suis levée avec un léger mal de tête malgré la qualité indéniable du champagne et des vins proposés. J'avais quelques heures devant moi avant de reprendre le train, tant qu'à faire, je voulais profiter un peu de Paris. J'avais rendez-vous avec une amie pour le déjeuner mais j'avais trois bonnes heures devant moi. Mon hôtel était à Saint-Germains-des-Prés, je voulais faire un peu de shopping mais comme il pleuvait, j'ai décidé d'aller au Grand Palais en métro pour tenter de voir la fameuse expo d'Edward Hopper (trois derniers jours), à 4 stations sur une ligne directe. J'avais deux tickets dans la poche d'un précédent voyage mais la borne automatique ne les a pas voulus... Je me fais un flip à chaque fois depuis que je suis restée coincée entre le tourniquet et la porte en métal, ce métro me rejette (à moins que ce soit cette fameuse scoumoune?). Je me suis collée à un type qui passait par le portail spécial bagages, avec ma petite valise et hop, direction place de la Concorde. Je marche la dernière station pour ne pas changer de ligne, sous la bruine sans parapluie, je me trompe d'entrée au Grand Palais, je le contourne pour découvrir la queue de 3 kilomètres. Je présente ma carte de presse à l'agent de sécurité, il me dit de passer. A la billetterie, on me dit de passer. Mais à l'entrée de l'expo, une dame très très méchante me passe un savon parce que les conditions ont changé et on ne peut plus rentrer avec une carte de presse (elle semble d'ailleurs ne pas reconnaître la mienne, pourtant universelle, qui nous coûte d'ailleurs très cher - ce n'est pas un cadeau!). Bref, me voilà à l'intérieur mais je me sens mal, en plus il y a tellement de monde qu'on peut à peine approcher des tableaux. Je trace à travers les salles et ressors 40 minutes plus tard. Je pensais être très en avance pour mon déjeuner, mais j'ai quand même fait la queue 15 minutes aux toilettes et 15 minutes à la consigne (pas très loin d'Amélie Nothomb!).

 
Re-émotion pour traverser la ville en métro, échanger mon ticket démagnétisé, changer de métro à Chatelet et marcher 3 kilomètres dans la station, pour enfin retrouver mon amie dans une pizzeria sympa près du Canal Saint-Martin! On papote on papote, trop contentes de se revoir, mais voilà qu'il ne me reste plus qu'une heure avant mon train. J'avais décidé de marcher jusqu'à la gare de Lyon pour flâner dans le Haut-Marais mais la pluie et le timing auront raison de mon programme, je dois me rabattre sur le métro depuis République, une station complètement en travaux dont je mets 5 minutes à trouver l'entrée!

 
TGV de retour sans histoire, si ce n'est une bonne vingtaine de minutes de retard... On est vendredi soir, je suis crevée, je n'aspire qu'à prendre un bain et me foutre en jogging devant la télé. Ce que j'ai fait, sauf le bain car il n'y avait plus d'eau chaude chez moi, GRRRR!

Alors, à votre avis, la panne de train, le couac à l'hôtel, les tickets de métro démagnétisés, la pluie sans parapluie, l'employée désagréable et l'absence d'eau chaude, c'est juste normal ou c'est quand même un peu la poisse?????

Heureusement qu'il y a Facebook, Instagram et Twitter pour ne montrer que les bons côtés de ma vie de journaliste si merveilleuse, n'est-ce pas???