dimanche 30 septembre 2012

Manucure rétro avec lunule nue (et petits cadeaux)

Je trouve enfin le temps d'essayer la manucure à l'aide de petits oeillets de protection pour feuilles perforées. Je tente le rouge avec lunule nue très très 50's... Mouais, y'a du boulot.

Premier essai avec le rouge Griotte de Peggy Sage:

Je commence comme toujours avec la base All in one de Essie. Je m'applique avec les petits ronds, mais difficile d'estimer leur position. Je pose ensuite le vernis rouge Peggy Sage que j'ai beaucoup de peine à manipuler. Le pinceau est trop petit et la formule pas assez fluide, elle sèche vraiment très mal malgré les gouttes Express Dry Drops de Essence. Bref, pas concluant. Plusieurs remarques: mes ongles sont trop courts, ce n'est pas joli, la lunule à nue est trop large et le rouge trop foncé...


Deuxième essai avec le rouge Double Decker Red de Rimmel:


Mieux. J'ai bien hydraté mes cuticules avant de commencer et je les ai repoussés avec un bâton de buis. Je dois dire que l'autocollant à tendance à arracher la couche de base mais bon, c'est 1 mm, ca va aller.

C'est pas mal mais ce serait définitivement plus classe avec des belles griffes taillées en amande à la Dita von Teese (pas mon cas)...



Voici comme promis quelques petits cadeaux pour vous! Trouvez mon contact sur le site et faites-moi un gentil message avec le produit que vous voulez gagner, (et un second choix pour satisfaire tout le monde), vos coordonnées (suisses only svp) et notre amitié sera scellée à jamais!

Je vous offre le vernis à ongles no 057 Griotte Peggy Sage vu plus haut.



Le Mascara cils inférieurs de Clinique en noir

L'Ombre essentielle Tigerlilly de Chanel (orange)

Le fard à joue crème Optimistic Orange de MAC

L'une des trois ombres à paupières gel Color Tattoo 24 Hr de Maybelline (très très pailletées, trop à mon goût), à choix
05 Eternal Gold
35 On and on Bronze
60 Timeless Black

Ne me remerciez pas, revenez me voir souvent et parlez-en à vos amies! Bisous bisous

p.s. c'était peut-être pas clair mais je ne vous demande pas quelle manucure vous préférez mais quel produit vous voulez recevoir!!!! :-)

Friday Wear on Sunday


Ce vendredi, je n'avais pas la gueule de bois mais je suis restée toute la journée plongée dans mes fringues alors même que je portais un jogging. La bonne nouvelle, c'est que j'ai retrouvé des pantalons qui ne m'allaient plus depuis longtemps et dans lesquels je rentre à nouveau, joie d'avoir 5 nouveaux bas. Mais la mauvaise, quoi que, c'est que vais-je faire des 2m3 de fringues restantes? Je vais en donner une partie et essayer de vendre l'autre car il y a des trucs pas mal... Voici en attendant des nouvelles d'un possible vide-dressing un petit look de mi-saison digne d'une grand-mère, comme dirait ma soeur. Tant que je n'ai pas l'air d'une Mormon, comme je l'ai entendu aussi!

Robe en coton imprimé bateau Mint & Berry (zalando)

Jaquette 50's en pure laine vert sapin (Chabada Vintage)


Ballerines rouges vernies Tamaris

J'en profite pour vous proposer les ballerines à la vente, 30.-, taille officielle 37 mais je dirai plutôt 36 vu que j'arrive pas à y être à l'aise avec mon petit 37 + frais de port pour la Suisse uniquement, 8.-

et avec ça, je verrais bien une jolie manucure rouge rétro avec la lunule nue....


samedi 29 septembre 2012

Rouges à lèvres: les tops et les flops

 
Il y a tant à dire sur ces chers bâtons rouges que je m'autorise un post supplémentaire sur le sujet. Car alors que je suis toujours en phase de gros tri chez moi, je suis obligée de reconnaître que certains rouges à lèvres m'ont déçue après un premier contact pourtant prometteur. Ils ne finiront malheureusement pas leur vie avec moi... 

 Je vous l'ai déjà dit, j'ai beaucoup de rouges à lèvres rouges, je n'ai presque que ça à vrai dire, j'en ai tellement que je n'arrive jamais à les finir. Bref. Cet automne, j'en ai encore ramenés à la maison, un peu comme des chats errants. Hé ouais, une vraie manie. Alors voilà un petit topo sur quelques RAL récents et moins récents.
Comment égaler la perfection du rouge Signature d'Estée Lauder??? Je l'ai acheté pour le shooting Mad Men présenté hier et je n'ai pas encore osé le déflorer... Faut dire que j'ai quelques tubes entamés à finir avant. Celui-là restera comme un trophée, dans son magnifique étui Art Nouveau...


Déception en revanche avec ce beau rouge brique Burberry, qui est devenu tout mou, s'est déglingué dans son tube design au tartan gravé, si bien que je n'arrive plus à l'appliquer qu'avec un pinceau et encore, j'en ai partout sur les doigts, et ça m'énèèèèrve...

Pareil avec le Dr. Hauschka qui n'a eu qu'à énoncer sa marque pour me séduire. Hélas, il est sans doute très "sain" mais on dirait qu'il est fait en cire d'abeille, il fond aussi à vue d'oeil dans son étui et c'est vraiment par pure conviction éthique que je continue à l'utiliser. J'aime bien son odeur de plantes, et sa couleur framboise est parfaite, mais bon, question galénique, c'est la cata...


 

Regardez en comparaison ce magnifique rouge Armani que je dois avoir depuis 5 ans... Il n'a pas bougé et je l'aime toujours même si on ne sort pas souvent ensemble. Je n'ose pas penser à ce qu'il contient, sûrement du plomb pour rester aussi immuable avec le temps, un peu comme les frites et le hamburger McDo de Supersize me...

Entre les deux, il y a le fameux vernis à lèvres Yves Saint Laurent qui a fait se pâmer toutes les blogueuses beauté en début d'année. Je l'ai beaucoup aimé, sa tenue est irréprochable mais il fait quand même un peu bling bling en plein jour...

Voici mon tiercé gagnant du moment, un bête Maybelline (Red Revolution no 630), le nouveau rouge Caresse de L'Oréal no 403 Hypnotic Red et mon cher Novalip Duo de La Roche Posay no 198. Entre-aperçu sur la photo du haut, mes plus chers amis, le rouge Feu d'artifice de la collection Pivoine de L'Occitane (peut-être une édition limitée épuisée, c'est mon deuxième tube et je m'en mets 10X par jour) et Candy Apple de Revlon Colorburst, mon must de cet été, quand il y avait encore du soleil....
Pour comparaison, voici un autre swatch avec le Burberry, le Hauschka et le Rouge Pur Couture Yves Saint Laurent.

Tout ça pour vous dire aussi que dans l'optique de vider mes armoires, je vous offrirai demain dimanche quelques petits produits qui seront sans doute plus heureux chez vous. Comme ça, sans compensation, pas besoin de liker ma page FB (c'est déjà fait de toutes façons, hein?) ni de répondre à une question quelconque... A demain, donc!

vendredi 28 septembre 2012

Making of du shooting "Mad Men"

  
Par un vendredi caniculaire de juin, je me suis levée vers les 4h du matin pour prendre un train une heure plus tard direction Zurich et un studio photo de renom dans la banlieue. Programme de la journée: réaliser une série de photos de beauté pour le numéro spécial 50 ans de Femina. Le thème: 1962 bien sûr, avec pour inspiration les belles de Mad Men. Joie! Trois models, une valise de fringue, un coiffeur et une maquilleuse, un photographe, ma collègue styliste, ma collègue responsable image et bibi avec son carnet de note et son Samsung Galaxy S2! Ambiance...

Briefing devant quelques images inspirationnelles, la responsable image définit les styles avec le coiffeur, la maquilleuse et le photographe. L'idée est de ne pas faire du copycat de Mad Men ou de Bardot mais de tirer vers une réinterprétation moderne du style 60's.

 
Essai de lumière avec Régine, la responsable image...

 
La première mannequin est là, elle s'appelle Vanessa et vient d'Irlande. Elle est arrivée la veille et ne lâche pas son iPad.
 
Ca continue ensuite pendant la séance de coiffure, elle tapote sur son iPhone pendant qu'on lui tire les cheveux. Elle aimera beaucoup ma photo Instagram (en ouverture de ce billet) et la piquera illico pour son compte!
 
Stander avec le joli choix de vêtements fait par ma collègue styliste Sandra. J'ai envie de tout essayer et de tout garder mais ce n'est pas tout à fait ma taille!

Après la coiffure plutôt décoiffée (Barbarella rock'n'roll, dixit le coiffeur), le maquillage sous les doigts agiles d'Helvé.

Matériel de pro.

Pendant que Vanessa se fait photographier, la deuxième mannequin est arrivée de l'aéroport, Amberlie, elle est australienne et n'est pas timide pour deux sous.

Emmanuel lui fait un splendide chignon avec le volume comme il faut sur le haut de la tête, hélas, on ne le verra pas sur les photos retenues au final. Mais voici l'envers du décor et les diverses étapes d'une prise de vue!

 
Retouche maquillage

Retouche coiffure

Essai pour trouver la pose idéale grâce à la posing table, un accessoire fascinant venu de New York. Ca vous pose au mannequin, ça oui madame!


Check sur l'écran de l'ordi. Son cou sera jugé trop long, ca fait bizarre. Voilà... le monde de l'image est impitoyable.

Essai de couverture avec les bougies 50 ans...

Au tour de la dernière arrivée, Tessa, de Bruxelles, splendide, racée, blonde aussi alors qu'on avait "commandée" une brune, une blonde et une rousse... Les photos des books sont parfois trompeuses... "It depend of the light", diront-elles en rougissant! Emmanuel peine à lui trouver un style, il essaie un chignon, recommence, n'est pas satisfait. Cela se finira en queue de cheval sur le côté, dessus bien crêpé.

 
Maquillage avec enfin une vraie bouche rouge comme je les aime (et le crayon à lèvres mat Nars Cruella, mon préféré, pas sur la photo mais utilisé, je l'ai vu!!!!).

Sandra doit tenir le petit pull en laine pour ne pas qu'il baille, c'est aussi ça les petites tricheries d'un shooting.

 
La série qui fera la cover, tellement belle!


Au final, les images sont très réussies, tellement que l'une d'elle finira en couverture. So proud! J'espère que vous avez eu l'occasion de feuilleter ce numéro collector et que vous l'avez apprécié!

dimanche 23 septembre 2012

Polly lit (quelques best-sellers)

Pour faire mon intéressante, j'ai lu Mrs Dalloway sur la plage cet été. C'était plaisant, la qualité de l'écriture de Virginia Woolf est bien là, les images sont belles, le rythme agréable, mais il faut reconnaître que ce n'est pas passionnant, même si tout ce qui est ancien résonne en moi comme si je l'avais vécu dans une vie antérieure. Je suis peut-être un peu limitée mais rien ne vaut quand même un bon polar!!!

De la même façon, j'ai été déçue du best-seller de l'été, La mort s'invite à Pemberley, une enquête policière imaginée par l'une des reines du genre, P.D. James, sur la base des personnages d'Orgueil et préjugés de Jane Austen. Ayant renoué avec Jane ce printemps à un moment où je me posais beaucoup de questions sur la difficulté de la vie à deux de nos jours, je me suis jetée sur ce livre mais je suis restée sur ma faim. J'ai tourné et tourné les pages non pas pour connaître le dénouement mais pour y trouver un semblant d'intrigue. J'ai eu du plaisir à retrouver les personnages austiniens et leurs caractères stéréotypés, mais après le meurtre qui intervient dans le premier quart du livre, il ne se passe rien ou presque avant le procès du principal suspect, le beau Wickham. Pour mémoire, Pemberley est le somptueux domaine de Darcy. Il y vit désormais avec sa bien aimée Elizabeth et leur deux enfants, une vie d'aristocrate du début du 19e siècle rythmée par les problèmes d'intendance, la conservation de ses rentes et les bals, seules animations de la vie sociale à la campagne. Les Darcy reçoivent souvent les Bingley, l'autre couple vedette de Orgueil et préjugés, soit la grande soeur d'Elizabeth, Jane et son époux, Charles. Mais c'est encore par leur insolente et sotte cadette Lydia que le malheur va arriver lorsqu'elle fait une entrée hystérique le soir avant le bal annuel (auquel elle n'est pas invitée) en hurlant que son mari a été assassiné dans les bois. On se souvient que Lydia avait créé le scandale en s'enfuyant avec un officier de peu d'honneur, Wickham, ami d'enfance de Darcy dont les mensonges et les manipulations avaient fini par l'éloigner. Bref, c'est évidemment les relations entre les gens conditionnés par leur position dans la société qui font le sel de ce roman. Les codes de l'époque sont parfaitement maîtrisés par la nonagénaire Phyllis Dorothea James qui a dû se régaler mais bon, il manque quand même un peu de piquant à ce banquet!
La mort s'invite à Pemberley, de P.D. James, éditions Fayard, 380 pages


Autre auteur culte que j'ai relu cet été, Lucia Etxebarria a publié ce qu'elle a annoncé comme son dernier roman, pour protester contre la généralisation du piratage qui sévit apparemment autant dans la littérature que dans la musique. Dommage, j'ai bien aimé cette histoire qui coule de la bouche même des personnages racontant chacun à leur tour un bout de leur vie, tissant ainsi une intrigue plus psychologique que policière, mais bien glauque quand même. Ainsi Gabriel quitte son appartement londonnien et sa fiançée névrosée pour partir à la recherche de sa soeur happée par une secte à Ténériffe. Tous les membres se sont apparemment noyés mais on n'a pas retrouvé le corps de Cordélia donc l'espoir persiste, en tout cas pour son amie Helena et ce frère qui ne l'a pas vue depuis 10 ans. Le drame familial se mêle au passé historique de l'archipel des Canaries dont l'isolement a attiré criminels nazis en fuite et gourous de sectes interdites. C'est parfois long mais les sous-bassements de l'âme humaine y sont tellement bien décrits qu'on croche quand même et qu'on espère jusqu'au bout un happy end improbable.
Le contenu du silence, Lucia Etxebarria, éditions Héloïse d'Ormesson,400 p.

Encore une impression mitigée du dernier Elizabeth George qui est une habituée de ce blog et que je lis avidemment depuis des années. Avec Anne Rice, c'est même la seule auteur dont j'ai relu plusieurs fois les romans tellement j'aime. Mais ses publications se suivent avec une régularité qui devient presque lassante. Surtout qu'on s'est attaché à ses personnages comme à des vieux amis et qu'on ne supporte plus de les voir tourner en rond. Cela fait plusieurs tomes que leur évolution est subtile pour utiliser un euphémisme, depuis la mort injuste d'Hélène dont on ne s'est pas plus remis que son mari l'inspecteur Lynley, aristocrate anglais travaillant pour Scotland Yard. De même Simon et Deborah, que la vie a uni alors que tout les sépare, se battent toujours avec leur désir d'enfant, depuis 12 épisodes! Même le titre de cette 17e enquête a un air de déjà vu (en français en tout cas) puisque Un Nid de mensonges a précédé cette Ronde des mensonges de 9 ans. Mais voilà, quand on aime, on pardonne, et je suis sûre que comme moi, toutes les fans d'Elizabeth George iront religieusement acheter leur exemplaire, liront les 650 pages en quelques jours et le rangeront avec les autres dans leur bibliothèque. Je n'en dirai pas plus sur l'intrigue elle-même, qui vous fera cette fois découvrir la région des lacs, le Cumberland, avec les mêmes ingrédients que d'habitude, secrets de famille, vicissitude et douleurs de l'âme. Attention, ce livre ne sort que le 4 octobre!
La ronde des mensonges, Elizabeth George, Presses de la Cité, 657 p.

Pour du bon polar bien lourd, rien ne vaut ce taré de Jean-Christophe Grangé. Vous allez être servies côté hémoglobine et psychopathe avec cette double enquête menée par un flic au bord de la folie, Olivier Passan. Sur les traces d'un tueur en série baptisé L'Accoucheur, le héros et sa famille semblent victime d'une vengeance personnelle où se mêlent références à la mythologie grecque et au Japon des samouraïs. C'est insoutenable, à chaque chapitre un nouvel élément vient densifier l'intrigue à la limite du paranormal, un suspens haletant jusqu'à la dernière page et une construction dramatique qui ne laisse aucun doute sur la future adaptation du roman au cinéma, comme la plupart des autres titres de l'auteur des Rivières Pourpres. Les scenarios sont certes alambiqués et d'une noirceur sans pareil mais l'imagination extrême de l'écrivain se base sur une solide connaissance de chacun des milieux qu'il décrit, tout est extrêmement bien documenté, fondé, maîtrisé. Pour la petite histoire, comme son commandant Passan, Grangé vit avec une Japonaise, donc les différences culturelles entre les deux pays, il connaît sans doute par coeur! Un régal.
Kaïken, de Jean-Christophe Grangé, Albin Michel, 472 p.


 
Je ne résiste pas à vous parler de ce petit bijou ressorti d'une de mes piles de livres à lire, paru en mars 2011...Un roman norvégien froid et brillant comme la banquise qui entoure ses protagonistes. Bea, illustratrice de renom dépendante à l'alcool, embarque sur un rafiot pour une rude croisière dans le Grand Nord. En proie à des démons intérieurs, elle cogite une vengeance personnelle qui va faire long feu. Ecologie, relations humaines et crimes honteux sous-tendent ce roman sans prétention qui m'a passionné malgré la lenteur de l'intrigue, qui se déroule au rythme du bateau dans les fjords gelés. Je m'attendais à un polar, il n'y aura pas vraiment de meurtre ni d'enquête mais un destin tragique et une belle fable pour la défense des ours polaires sur lesquels j'ai appris beaucoup de choses! Je vous le recommande donc chaudement pour les longues soirées glacées à venir! Moi je l'ai lu sur la plage et le contraste était plus rafraichissant qu'un climatiseur!
Zona Frigida, Anne Birkefeldt Ragde, éditions Balland, 384 p.

samedi 22 septembre 2012

Cette année-là (1962)

Pas de billet hier pour cause de vilaine GDB (no comment). Nous avons en effet fêté dignement les 50 ans de Femina jeudi soir lors d'un cocktail dinatoire (plus cocktail que dinatoire en réalité) suivi d'une soirée 60's. L'occasion de sortir l'une de mes plus jolies robes (et vraie vintage) de chez Chabada.


Marrant de voir toutes mes collègues "déguisées" et très très glamour puisque nous avons eu la chance d'être bichonnées par toute une armada de coiffeurs et de maquilleurs  de chez Lancôme, Yves Saint Laurent et Giorgio Armani (merci L'Oréal, nous le valons plus que bien).

 
Moi je me suis débrouillée toute seule avec un maquillage basique (BB Cream, poudre, blush, ombre à paupière bleu clair, eyeliner, mascara avec un beau rouge framboise Estée Lauder) et une coupe de cheveux simplissime, frange en rouleau et queue de cheval haute légèrement retournée pour un bombé 60's.

Bon je me suis aussi fendue d'une jolie manucure menthe à pois blanc (et pas rose pour ne pas faire trop gros bonbon) assortie à mon sac "siège de chevrolet bel air"!

Robe 60's Chabada Vintage
Ballerines en vichy rouge pâle André
Cardigan en coton ajouré Mango
Sac "Cloé" Lili Cerise

 

Et vive le cosmopolitan (et Femina of course qui célèbre son jubilé avec une paire de Converse collector)!