vendredi 29 avril 2011

London pride!


Wouaw, that's the D-Day, le mariage de William & Kate! Je blogue avec la télé en bruit de fond, les tweets du Matin et Facebook ouverts pour pouvoir partager en live avec les copines ce moment waltdisnéen sauce à la menthe! Ma collègue Juliane a ramené ces biscuits royaux de son voyage de presse à Londres sur les traces des fiancés de l'année et moi, je savoure chaque bribe de cette culture anglaise que je chéris tant. J'ai trop ri ce matin en entendant à la radio les paris que les Anglais avaient lancés avant le mariage, ils sont vraiment impayables, ces Brittons.

Je trépigne d'impatience d'y être puisqu'à la place du Japon, et vu le peu de temps qu'il restait pour organiser un nouveau voyage (au Mexique par exemple), nous nous sommes rabattus sur la solution de facilité pour partir quand même vite et pas cher: LONDON, pour la 24e fois, avec une escapade à Dublin depuis là-bas. J'ai décidé que pour ce énième séjour, je n'irai dans aucun endroit où j'avais déjà mis les pieds... Facile puisque tous les magazines ne parlent que de cette ville en ce moment... J'ai notamment préparé une to-do-list beauty avec les bons plans de Gala, que j'ai lu ce week-end chez mes parents... Pendant que les fans de Kate Middleton se ruent sur la marque suisse qu'elle a cité une fois dans ses favoris (Karin Herzog, que je connais bien et que j'aime beaucoup, pour sa philosophie toute simple, son histoire très chou et sa fiabilité toute helvétique), je mets à jour mes connaissances en matière de cosmétique british. Outre REN, Neal's yard remedies, Kate Kidston, Penhaligon's ou Jo Malone, dont j'ai pu parler ici une fois ou l'autre, je ne connais pas beaucoup de marques typiques. J'irai donc faire un saut à l'Anthologie Store, Lost in Beauty et The Organic Pharmacy pour vous ramener de petites merveilles. En attendant, un tuyau: on peut commander des tas de choses sympas sur www.cultbeauty.co.uk!

Mais surtout, mon but du week-end, c'est de me faire coiffer dans un des salons de coiffure de pin-ups de l'East End (et de mieux découvrir ce quartier que la dernière fois!!!), soit Pimps & Pinups, Taylor Taylor ou Nina's Vintage Parlour... Can't wait!



Vernis à ongles Kate Sapphire et Will Union Jack en édition limitée chez Nails Inc.

mercredi 27 avril 2011

Perplexe devant le shampoing sec...

C'était un truc que je voulais tester depuis longtemps, mais je n'en avais pas le besoin: j'associais le shampoing sec au barda des globe-trotters qui doivent parfois composer avec l'absence d'eau. Je me suis rappelée que j'avais reçu ce flacon de Klorane il y a quelques semaines en lisant un billet sur Hellocoton (sorry, je voulais linker mais je viens de passer 20 minutes à le rechercher en vain...) à propos du must-have du genre, apparemment, Batiste (pas distribué en Suisse). J'ai donc testé la chose en revenant d'un séjour à la montagne, où j'adore me laver les cheveux car l'eau très peu calcaire les rend tout doux mais l'odeur du feu de bois m'oblige à les relaver une fois de retour à la civilisation ( et là, vous m'imaginez en Heidi des Alpes alors que faut pas déconner, on a le wifi au chalet, quand même). J'étais vraiment désemparée: comment cette poudre allait-elle se disperser, devais-je faire ça dans la baignoire pour éviter d'en mettre partout, n'y allait-il pas avoir des résidus douteux? Alors pas du tout: on spraye, on masse un peu et on brosse. C'était indiqué de ne pas en mettre trop. Peut-être n'en ai-je point mis assez? Je n'ai pas trouvé le résultat renversant. Les racines étaient toujours un peu grasses et l'odeur pas terrible... Je vais réessayer à l'occasion mais rien ne remplace le plaisir d'avoir les cheveux fraîchement lavés, aériens, parfumés à la pomme ou au coquelicot, qu'importe, et brillants comme ceux de Doutzen Kroes. Et pour les cheveux qui regraissent trop vite, je n'ai encore rien trouvé de mieux que le Bain Clarifiant de Kérastase...
Et vous, le shampoing sec, vous pratiquez? et sinon, pour les cheveux gras, votre meilleur arme?

Des hauts et des bas

Pardonnez mon peu de nouvelles cosmétiques ces dernières semaines mais je dois dire que rien ne m'a vraiment enthousiasmée... Je teste différentes crèmes raffermissantes pour le corps mais c'est vraiment pour avoir bonne conscience. J'ai aussi été très déçue par deux produits que j'ai appliqué consciencieusement sur ma patte d'oie sans voir l'ombre d'une a mélioration, des produits pourtant très chers qui promettaient la lune (en 12 semaines, 63% de l'effet d'un traitement laser), le sérum Repairwear Focus Laser de Clinique et l'Advanced night repair eye d'Estée Lauder pour ne pas les nommer.

Un coup de coeur cependant pour les cosmétiques maison qu'une jeune Vaudoise s'est mis à vendre on line, Alexia Cosmétiques, dont une délicieuse crème pour le visage à la mauve (peaux sensibles), un petit bonheur! Allez voir sa boutique!

vendredi 22 avril 2011

Polly lit aussi (4 romans pour Pâques)

Un peu de lecture avant ce long week-end pascal? Voilà mes quatre derniers romans de chevet. "La maison en pain d'épices" d'abord, de Carin Gerhardsen. Cette mathématicienne de formation, mère de famille, a abandonné son job pour se consacrer à l'écriture. Ce premier roman froid et précis dans la tradition des polars suédois se savoure comme un paquet de biscuits au gingembre. Comme souvent, deux enquêtes s'entremêlent, celle de ce tueur en série qui élimine un à un ses camarades d'école qui le torturaient enfant, et celle plus distante d'une agent de police victime d'un viol. La vie privée des personnes sert de toile de fond à une action policière bien ficelée, avec force détails et rebondissements. Il s'agit du premier tome d'une trilogie, et c'est peut-être ce qui me plaît le moins... (Fleuve Noir, 300 p.)


Asa Schwarz est (ô étonnant) une auteur suédoise dont le premier métier était consultante en sécurité informatique (toute ressemblance avec l'auteur ci-dessus ne serait que pur coïncidence!). Quelques détails liés à la technologie viennent parsemer l'intrigue de son "Nephilim" mais c'est avant tout la cause écologiste qui plante le décor. Nova est une militante de Greenpeace à dreadlocks qui se rend chez un grand patron de l'industrie pour vandaliser son appart et qui le retrouve atrocement assassiné avec toute sa famille. Le cauchemar se poursuit quand chacunes des personnes listés par Nova et ses amis comme les "Dirty Thirty", les responsables des 30 entreprises les plus polluantes de Suède, meurent les uns après les autres. L'inspecteur chargée de l'enquête s'appelle Amanda et n'a pas l'intention d'accorder le bénéfice du doute à la pauvre Nova. Comme vous l'imaginez, l'affaire est plus complexe que ses apparences. Nova se retrouve en coeur d'un embroglio de croisades pour sauver la planète et de croyances millénaristes. Excellent. (Presses de la Cité, 282 p.)


Ah, enfin un auteur français! "Dame de trèfle" est le quatrième volet de la série d'Alexis Lecaye consacrée aux Dames. On y retrouve l'inspecteur Martin au service d'une femme dans le coma problement traquée par une secte et ses deux enfants perdus dans la nature. Armony, une strip-teaseuse en perdition qui a aidé la victime avant sa chute pourrait être la prochaine sur la liste du tueur psychopathe mais s'est mise elle-aussi aux abonnées absentes. Une enquête atypique qui ressemble à une course contre la montre, avec toujours des bribes de l'intimité des personnages pour corser le tout. Vraiment pas mal, ce livre m'a donné envie de lire les autres. La honte, je ne connaissais pas Alexis Lecaye, auteur d'une trentaine de romans, également producteur et réalisateur, notamment des Julie Lescaut. Dame de trèfle sera d'ailleurs adapté sur France 2. (Editions du Masque, 378 p.)

Un dernier pour la route, ni suédois, ni policier. "Lucy Gayheart" est un de ces romans classiques tout simples mais profondément marquants. Célèbre auteure américaine de l'entre deux guerres récompensée d'un Pulitzer, Willa Cather a signé ce récit en 1935. Mais l'intrigue se déroule au tout début du siècle entre le Nebraska et l'Illinois, où la glace et les mètres de neige en hiver n'empêchent nullement les gens de couler des jours heureux. Lucy Gayheart est une fille de son temps, à peine plus têtue ou aventurière, qui part à la ville (Chicago) pour y faire ses expériences comme on dit. Sensible, instructif et rassurant, ce roman nous plonge dans une Amérique désuète mais nous rappelle aussi que la vie, l'amour et la destinée sont des préoccupations de tout temps, de toute classe ou origine. (Rivages, 234 p.)





mercredi 20 avril 2011

Swedish Hasbeens for H&M, done!

CA, C'EST FAIT!!!!!



J'avoue, j'ai craqué, mais elles sont si jolies... Pour la "vraie" collection, c'est par là et aussi chez Mademoiselle Robot, où je les ai découverts...

lundi 18 avril 2011

Escapade parisienne (part 2)

A Paris, donc, c'était le printemps. On a eu droit à notre jardin de sakura, ce qui n'a que moyennement consolé les deux de la bande qui auraient dû les voir pour de vrai... Bref! Une petite photo pour se mettre en jambe, avant d'entamer notre longue tournée du quartier (tout à pied, tout le temps, c'est si facile). Nous avons débuté notre séjour culinaire par un déjeuner très new-yorkais chez Schwartz's Deli, un Delicatessen comme là-bas, où on a quand même payé 16 euros le bagel au saumon mais il faut dire qu'il était bien servi. Comme les hamburgers d'ailleurs. Et la carte des desserts faisait bien envie aussi. A retenir. A défaut du diner Happy Days que je n'ai pas pu tester (je n'ai pas osé imposer deux fois de suite la gastronomie ricaine à mes camarades...). Pour le soir, on a opté pour la facilité aussi en mangeant japonais dans le quartier. Difficile de trouver autre chose que des sushis, la carte se risque parfois à proposer des yakitoris et de la tempura mais cela reste assez basique. Mais copieux, délicieux et pas cher par rapport à la Suisse! Je regrette de ne pas avoir expérimenté les bonnes adresses du blog Happy City, une mine d'or, comme la cantine hong-kongaise Yoom, le nostalgique Club des 5 ou le champêtre Petit resto dans la prairie... Next time! Pour boire un verre après, les bars ne manquent pas non. On s'est tapé une tournée de gin fizz au Pik Clops, qui nous a attiré avec ses tables en formica, sa machine à Pop Corn et ses néons 60's (16, rue Vieille du Temple).
Malgré mes efforts et mon enthousiasme légendaire, je n'ai pas réussi à faire bouger les mamies aux nombreuses soirées rockab' dont je m'étais faite briefée en passant dans les boutiques ciblées... Dommage, Paris by night, ça sera une autre fois!


Mais Paris, c'est aussi ça, découvrir des maisons incroyables juste derrière une grande rue, avec un parc royal et une architecture qui inspire le respect. Très agréable et unique au monde!


Longue promenade dimanche à travers les Tuileries pour se rendre à pied au Grand Palais. Hé oui car nous ne sommes pas si futiles, nous étions venues pour visiter la grande foire de l'art contemporain Art Paris. J'y ai immortalisé de nombreuses installation pour les partager avec mon artiste de bonami resté à Lausanne. J'aime pas trop prendre ces clichés, impressions de voler et d'être un peu beauf. Le truc que j'ai préféré: les montages en bobines de fil de Devorah Sperber qui, regardées à travers une boule en verre, forment la reproduction d'un tableau... Génial. J'ai beaucoup aimé aussi les innombrables sculptures en marbre, peintures et installations de Philippe Pasqua avec des têtes de mort.

Et pour terminer comme on a commencé sur une note japonaise, ces immenses toiles pointillistes, scènes de rues tokyoïtes. Impressionnantes.

vendredi 15 avril 2011

Escapade parisienne

Voilà comme promis un petit feed back de mon escapape parisienne en compagnie de mes amies de Sex & the City (ça commence à faire ringard mais en même temps, ça dure depuis 10 ans!). Enfin, dans notre jolie chambre à quatre sous les toits de l'Hôtel 7e art, on s'est plutôt senties au pensionnat que sur un toit de Manhattan mais on a bien ri. Même si on n'a pas tenu notre pari de faire une bataille de polochons en petite culotte, bien trop fatiguées par nos longues balades dans le quartier. Comme l'hôtel était bien situé, dans le Marais, à 4 minutes de l'arrêt de métro Saint-Paul, on a presque tout fait à pied. Le quartier est vraiment génial, il y a tout à disposition, restos, boutiques, bars, galeries. Ci-dessus grâce aux cartes récoltées en chemin un petit panel de boutiques sympas dont certaines rétros comme les jolies boutiques de Mam'zelle Swing (35 bis, rue du roi de Sicile), années 40 et celle de Mademoiselle Vegas (48, rue Charot), plus rock'n'roll (c'est elle qui organise les relookings pin-ups dont je vous avais parlé ici). J'ai marché très longtemps pour arriver aux Cakes de Bertrand (137, rue Vieille du Temple) et j'y ai dépensé beaucoup, vraiment beaucoup d'argent, mais ce fut ma seule folie donc ça va! Les autres, je suis tombée dessus un peu par hasard, surtout celle de Monsieur Poulet, où j'ai pu m'acheter le T-Shirt avec une madone mexicaine dessinée par Margaux Motin. Pareil pour Sabon (32, rue des Rosiers), que j'avais découvert à New York avec ses incroyables sels de gommage pour le corps, brumes d'oreiller et petits gels antiseptiques pour les mains. Il y a des concepts stores avec les mêmes gadgets que dans le monde entier par milliers, comme celui-ci, Sam, 35, rue de Bretagne, très bien achalandé (c'est là qu'il y avait le pop corn Newman's own). Quant au dénommé Gomina, rien à voir avec la pomade à cheveux vintage (dont, ceci dit, j'ai fait une provision pour mon bonami chez Born Bad, près de Bastille). Il s'agit de la boutique Petit Bassin, rue de Rivoli 32, décorée de mosaïque bleue comme le fond d'une piscine, qui vend des vêtements, accessoires et doudoux pour enfants originaux, comme des vraies chemises et robes hawaiennes fabriquées là-bas (j'ai relooké mes deux petits poulets de neveu et nièce). Je vous épargne les 150 friperies de la rue du Roi de Sicile et environ, au bout de la cinquième, j'ai jeté l'éponge (n'est-ce pas Charlotte)...

Dans la rue de l'hôtel (rue Saint-Paul), il y avait aussi les Comptoirs du chineur avec quelques petites merveilles très très vieilles, comme les fameux bigoudis chauffants que j'avais récupérés de ma maman ou une figurine géante de Goldorak (ceux qui me connaissent vraiment savent pourquoi ça me touche). Et bien sûr comme c'est la grande mode partout, des masques de catcheurs mexicains et autres objets artisanaux style Notre dame de Guadalupe. Je commence presque à m'en lasser...


On a aussi voulu aller à Princesse Crêpe mais c'était fermé. Comme ça le Japon était un peu avec nous quand même! La suite dans un second billet!

dimanche 10 avril 2011

J'ai testé l'atelier Fringues Recycling

Voilà une bien jolie façon de passer mon dimanche. J'y suis allée un peu en râlant pour le boulot et j'ai passé un moment très agréable en fait. Le cadre: une très jolie boutique-galerie de la rue de la Mercerie à Lausanne, aussi gaie et farfelue que sa propriétaire écossaise Caroline Pollock. Les gens: une styliste (Laure Paschoud) pour coacher et trois élèves appliquées qui veulent donner une deuxième chance à un vêtement qu'elles aiment bien, soit parce qu'il a une valeur sentimentale, soit parce que le tissu est très beau, soit... chacun ses raisons. C'est le concept de Fringues Recycling, pas un cours de couture mais un atelier pour adapter une fringue au lieu de la jeter. Sur le site, des liens pour s'inscrire à Genève, Lausanne, Martigny et Fribourg, quelques pages de stylistes intéressées par la démarche et des friperies où trouver de belles pièces à recycler...

Mon défi du jour: une banale robe-chemisier noire que je n'aime plus du tout et surtout dont je n'arrive pas à fermer les manches... J'avais déjà essayé d'ajouter un ruban mais le résultat était peu concluant... J'ai fait mes petits achats à l'antique mercerie, voisine du lieu du cours, qui donne son nom à la rue, on y trouve des trésors: biais en vichy, fronce à coudre au bas, boutons à pois. Je voulais carrément broder un prénom sur la poitrine mais comme le reste m'avait déjà pris beaucoup plus de temps que je ne le pensais, j'ai triché pour les finitions et collé deux patchs rock'n'roll (achetés en grande surface) au fer à repasser!

Et voilà le résultat, avant/après! Je suis ravie, j'ai rencontré des filles hyper sympas, j'ai passé une après-midi créative à papoter, boire du thé, manger des brownies et j'ai une nouvelle robe très rockabilly! Yes!

vendredi 8 avril 2011

E-shopper en Suisse, c'est possible!

Malgré mon intention de moins consommer, je me laisse facilement tenter par le shopping en ligne. Les produits sont si joliment présentés que je craque, je clique, et j'emmagasine! Plus facilement qu'en essayant des vêtements de mauvaise qualité dans une cabine mal éclairée où là, c'est radical, je repose presque toujours ce que j'avais sélectionné.

Etonnamment, on trouve parfois des robes et des petits hauts rétro sympas chez Jelmoli (si si, ne riez pas) ou à La Redoute, comme cette chemise rayée bleue et blanche avec une pin-up dans le dos de la marque Kaporal 5 (109 fr., déjà soldée à 87 fr. 20)


Chez Mango ensuite, j'ai repéré sur une publicité cette robe 2-en-1 style marin décorée de boutons avec une ancre, mais malheureusement il ne l'avait plus en magasin. Je l'ai commandée on-line et elle est arrivée 2 jours plus tard par DHL, youpie!!!! (69 fr.) Chez Alprausch, sympathique marque suisse, j'ai trouvé des accessoires hyper cool comme cette ceinture cerises, 79 fr, ou le porte-monnaie vichy ci-dessous, 32 fr. Trouvé aussi chez Alprausch, cette marinière sweat-shirt à poche 100% coton, 98 fr.


Pour les chaussures, je vous recommande Boutique27, le site de ma copine Isabelle, célèbre fashionista lausannoise, organisatrice depuis de longues années des soirées Shoes & Champagne (c'est comme avec Tupperware mais beaucoup plus glamour), par exemple les Bardot en vichy rose (55 fr. 60), les Shelby façon espadrilles (23 fr. 70) ou ces Babies compensées à pois (27 fr 60).



Et pour aller avec tout ça, un joli sac à main (79 fr.) de la boutique Baboune à Monthey, qui vend en ligne quelques vêtements et accessoires. Dont cet indispensable outil pour assurer dans cette panoplie un peu champêtre: le grill portable à pois (49 fr.)!!!!! Bon week-end et profitez du soleil!

jeudi 7 avril 2011

Razzia à l'American Market

J'étais assez contente de devoir me rendre à Nyon lundi pour interviewer une fille formidable qui vient de lancer sa boîte de Wedding Planner, une de celles que j'admire pour avoir osé se lancer dans une entreprise risquée mais en adéquation avec ses envies (One fine day).

Pourquoi cette joie? Parce qu'à Nyon, il y a l'American Market!!! J'y suis entrée pour acheter du frosting blanc pour mes cupcakes et quelques sodas lights aux goûts de cerise ou de raisin... et j'en suis ressortie avec presque 100 balles de produits! Difficile de résister pour l'américanophile que je suis! En vrac, M&M coconut (une découverte), bubble gum grape, apple et cotton candy, mélange à cupakes et white fluffy frosting (quand même!), pop-corn Newman's Own (vu à Paris ce week-end dans un concept store mais j'étais sûre que je le trouverai ici), sauce à salade Ranch, sauce BBQ Budweiser, mix pour margarita (ayayaya), tabasco vert, grape jelly et mes fameux sodas! Que du bonheur!


J'attends toujours ma reconnexion pour vous parler de Paris et aussi de mon expérience à l'atelier Fringues Recycling.... A très vite les pin-ups!

lundi 4 avril 2011

Apéro rétro à Genève

Une petite info pour démarre la semaine, en attendant un petit feed-back de mon week-end parisien (dès que j'ai rétabli ma connexion à la maison, là pour l'instant je suis embêtée).... Ca se passe jeudi soir à Genève, un apéro rétro pour s'échapper de notre temps et goûter aux plaisirs de la musique et de l'ambiance Belle Epoque. Cet after-work est organisé par Emma Mylan, artiste burlesque dont je vous avais déjà parlé à l'occasion de ses ateliers! Elle promet cette fois d'animer les vieux murs de l'Alhambar de sonorités swing et rock'n'roll 50's entrecoupés de petits shows assurés par sa troupe Secret Follies. La bonne nouvelle: pas besoin d'être monstre looké, les curieux sont bienvenus! Réservation conseillée: 022 312 1313 • info@alhambar.com