dimanche 31 octobre 2010

Polly lit aussi (Katherine Mosby)

Je la ramène une dernière fois sur New York et puis j'arrête. Quand je pars quelque part, j'aime bien emporter un roman qui se passe là où je vais. Je visualise ainsi les lieux où les personnages évoluent, c'est amusant. Je le fais aussi parfois a posteriori, comme Götgatan pour Millenium ou Belgravia pour les polars d'Elizabeth George. Bref. Pour ces vacances d'automne, je n'ai pris que ce petit poche car je savais bien que je n'aurais pas beaucoup de temps, même dans l'avion (où j'ai préféré regarder Sex & The City 2, pour me mettre dans l'ambiance).

Sous le charme de Lillian Dawes est un roman initiatique qui se déroule dans le Manhattan des années 50. Quand les garçons portaient encore des costumes et fumaient autant que dans Mad Men, et où seuls les jeunes gens de bonne famille pouvaient faire des études grâce à la fortune familiale. C'est le cas de Gabriel, 17 ans, orphelin mais bien né, renvoyé de son pensionnat pour avoir tiré sur un cigare dans la chapelle. Il échoue chez son grand frère Spencer, jeune homme charmant qui travaille sur son premier livre dans un petit appart sans prétention sur la 9e rue ouest. Avec une différence d'âge de 10 ans, les deux garçons ne se sont connus que durant les vacances scolaires mais pour Gabriel, c'est une intervention divine que de terminer son trimestre dans cette relative liberté. Avec une admiration sincère, il va évoluer dans le sillage du charismatique Spencer, passant notamment un week-end riche en émotions dans la propriété de Clayton, un fils à papa prétentieux et paumé. Le jeune cancre y retrouve une jeune femme mystérieuse qu'il croise à intervalles irréguliers et qui l'obsède, Lillian Dawes... Je ne vous en dit pas plus, c'est délicieusement bien écrit, avec des images fines et un style fluide qui nous emmène dans cette époque révolue au charme suranné.


«Dire que la danse était excitante relève sans doute du cliché; ce que je n'avais pas compris avant, c'est que l'objet de séduction était le public, pas les danseurs qui étaient eux complices et concentrés sur leur objectif commun. Lorsqu'ils virevoltèrent près du rideau, je vis que l'homme avait le visage tout vérolé et les cheveux fixés par de la brillantine parfumée. Il renversa sa cavalière sur sa cuisse et la fit lentement basculer, comme si seule l'intensité de son regard la maintenait en suspension au-dessus du sol. Puis il l'a redressa d'un coup et la fit tournoyer si vite que les cheveux de la fille, comme par combustion spontanée, se transformèrent en un long fouet auburn qui taillada l'air pendant qu'ils nouaient et dénouaient leurs corps selon des angles sinueux. La danseuse rejeta la tête en arrière quand ils revinrent près du rideau et je la reconnus. C'était Lillian Dawes, qui retenait un sourire.»

samedi 30 octobre 2010

American Beauty (je sais, c'est facile)

Voilà donc quelques grammes de cosmétiques made in USA qui ont échappé à mon racisme gratuit... Alors oui, en no1, je suis une Carmex-addicted, cad que je m'en mets 10 fois par jour. La légende dit que la formule contient une substance qui entretient cette dépendance. C'est ça, comme dans le Coca et le McDo. Tant pis.
No2 ex-aequo, mes deux soins de jour préférés en hiver, la Ultimate Youth Cream Re-Nutriv d'Estée Lauder, elle coûte une blinde (352 fr, et bam) mais ça les vaut et le pot dure en tous cas trois mois... et la Eight Hour Cream d'Elizabeth Arden version fluide de jour avec SPF 15, nettement plus abordable (une cinquantaine de francs), le Rescue du visage durant les mois en R!
En 4, le blush Dollymix MAC pour des pommettes comme rosies par le froid.
En 5, un petit gloss dans un moule à cupcake, Lip Lingerie de Dianne Brill, une Party Queen reconvertie dans la beauté avec sa ligne girlie tendance bas résille que j'ai découverte à la boutique Septième Etage à Genève il y a bien des années déjà. On la trouve chez Douglas je crois.
En 6, sur mon ordonnance actuelle pour tenter de sauver ma peau parcheminée, le masque de nuit Drink Up Intensive de Origins, qui ne m'a pas bluffée pour l'instant. Je n'aime pas trop aller au lit avec l'impression d'avoir du guacamole sur le visage (la composition indique de l'huile d'avocat, du beurre de mange, de la cire d'écorce d'orange, de l'huile de noyau d'abricot, pas très light).
Très léger en revanche mon no 7 dont je voulais vous parler depuis longtemps, le gel crème hydratant Bobbi Brown. La papesse du fond de teint fait aussi des crèmes dont ce joli pot blanc au couvercle frappé d'une armoirie. Je ne l'utilise pas tous les jours mais le soir avant de sortir pour redonner un petit coup d'hydratation à ma peau, c'est merveilleusement bienfaisant. J'ai ainsi découvert que certaines formules gel ultra légères pouvaient plus hydrater et surtout aider la peau à retenir l'eau que mes pommades fétiches ultra grasses dont je m'enduis la face à longueur d'années (sans beaucoup de succès, il faut le dire). Un espoir?


Une mention spéciale pour les nouveautés Benefit, dont ce coffret à miracle baptisé malicieusement Her name was Glowla. Un kit de maquillage complet avec mode d'emploi qui contient cinq ombres à paupières et un applicateur, un blush et son pinceau, un mascara, deux illuminateurs de teint et un gloss, dans une jolie boîte glamour avec miroir intégré à peine plus grande qu'un agenda (56 fr.). Le Benetint, c'est en plus mais un must pour colorer durablement lèvres et joues (créé à la base pour maquiller les tétons pâlichons d'une danseuse de cabaret dans les années 70!). La marque de San Francisco a lancé également ses eaux de toilette à porter selon l'humeur (70 fr le 30ml): Laugh with me Leelee (citron, jasmin et lys), Something about Sofia (fleurs orientales, mangue et vanille), My place or yours Gina (poivre noir, framboise et patchouli) et le dernier So hooked on Carmella (grapefruit et citron, fleur de tiaré, pivoine, ambre, santal, vanille). Dans leur flacon shaker, on dirait vraiment des cocktails, gare aux excès.


Voilà, je crois que j'oserai plus jamais dire que je n'aime pas les marques ricaines! Et vous?

vendredi 29 octobre 2010

Marketing à la con

Je sais, j'ai craqué, c'est très bête mais bon! Il y a aussi les céréales en forme de Loops mais là j'ai dit non, ça a l'air trop chimique...

mardi 26 octobre 2010

Je veux le polo damier d'Amy Winehouse pour Fred Perry


A défaut d'un nouveau disque, Amy Winehouse nous offre une super collection très 50's qu'elle a dessinée pour Fred Perry. Trop bien! Et c'est une Amy sobre et propre qui s'est donnée en concert lors de la présentation de la collection la semaine passée à Londres. What a good news! J'ai beaucoup aimé son deuxième album, j'ai aussi le premier mais j'aime moins, et là surtout j'ai vraiment envie de découvrir un truc nouveau! Come on, Amy, Amy, Amyyyyy!

Il paraît que ça va être vendu en boutiques en Suisse mais en attendant, je crois qu'on peut commander ici! Ca va faire mal!

dimanche 24 octobre 2010

New York plein les mirettes (part II)

Paradis des amateurs de belles images nostalgiques, Coney Island est un passage obligé, à 1h de métro tout au sud de Brooklyn. Erigé en 1920 ("on ne construit plus ainsi", dit l'affiche à l'entrée), ce parc d'attractions a l'air désaffecté mais ne l'est pas. Il y a d'ailleurs un Luna Park flambant neuf attenant. C'est une délicieuse promenade du dimanche, le long de la plage, avec ses baraques à hot-dogs et ses stands de souvenirs kitsch. Un pur bonheur.

La grande roue évidemment est la partie la plus spectaculaire, on la voit loin à la ronde. D'autres blogueuses en ont fait des photos bien plus belles que moi, comme Eléonore Bridge.

Le Grand 8 était en rade comme la grande roue ce jour-là mais tellement charmant. Je vous épargne la centaine d'images que j'ai pris, je n'ai pas l'oeil d'une artiste et ce sont surtout des souvenirs pour moi!



C'est au shop à côté du grand fast-food Nathan's, en sortant du métro, que j'ai trouvé les plus cools T-shirts de New York, bien vintage avec leurs pin-ups, leurs sirènes et leurs logos désuets.


Pendant que mon bonami déjeunait d'un hamburger comme tous les jours, je me suis régalée avec une barquette de crevettes frites avec une sauce bien relevée, une orgie de cholestérol mais tellement bon grignotées face à l'Atlantique!



Le train fantôme! Beaucoup de ces carrousels ne fonctionnaient pas, je pensais que c'était normal mais il me semble en lisant certains sites Internet que ce n'est pas toujours le cas. Dommage, il y a aussi souvent des manifestations comme la parade des sirènes ou des shows burlesque ainsi que l'aquarium de New York. Je n'ai rien vu de ça mais cela m'a amplement suffit pour me donner envie de retomber en enfance.

Le local des pompiers de Soho, juste à côté de notre hôtel. Il paraît qu'on peut aller leur dire bonjour, ils aiment bien parler de leur job et montrer leur caserne! Comme à la télé!


New York, paradis des graffitis, là aussi je me suis abstenue de tout mitrailler mais c'est magnifique!





Toujours côté fun, la boutique M&M de Time Square donne le vertige, trois étages de gadgets à l'effigie des célèbres cacahuètes, on a envie de tout acheter, du pyjama à la bonbonnière en passant par les boules de Noël et les tasses à thé!

A Williamsburg, la porte customisée du Surf Bar avec, pour les plus observateurs, un sticker dessiné par mon bonami pour ses amis du snowpark de Grimentz!


Et enfin les verres à cocktails tiki de Otto's Schrunken Head qu'on peut acheter avec son drink (5$), on en a ramené 4! Voilà pour New York côté fun! Qu'est-ce que c'était bien (soupir)...

samedi 23 octobre 2010

New York plein les mirettes (part I)

Bon voilà, après plus d'une semaine, on peut dire que j'ai enfin émergé, mais c'était dur... Impossible de dormir avant 4h du mat les premiers jours, du coup dodo jusqu'au milieu de l'après-midi, et une fin de vacances qui disparaît happée par ce foutu jet lag. Il paraît qu'on récupère une heure par jour, donc 6h de décalage = une semaine pour retrouver son rythme. Pffff.

De retour au boulot, j'étais plutôt contente des arrivages beauté qui m'attendaient sur mon bureau. Je peux même dire en réponse à mon précédent post que l'Amérique est arrivée à moi question cosmétiques, avec plein de produits Benefit dont je vous parle tout bientôt! J'ai aussi retrouvé 2-3 trucs sympas chez moi qui méritent un petit billet. En attendant voilà un diaporama en deux parties de cette semaine dans la ville de Carrie Bradshow...


La voilà, quand même, symbole absolu de la ville, la Statue de la Liberté, photographiée depuis le ferry pour Staten Island. La meilleure façon de la voir, sans perdre une demi-journée à faire la queue avec tous les autres touristes. De toutes façons, on ne peut pas grimper dedans donc pour avoir sa photo perso du monument, c'est un bon plan, et c'est gratuit surtout.

En débarquant du ferry, on est à la pointe sud de Manhattan, donc à deux pas de Wall Street. Ca vaut le peine de remonter un bout à pied à travers ces buildings géants et goûter à l'effervescence du quartier, devant le stock exchange et les fameuses banques qui ont fait plonger le monde dans la récession il y a deux ans. On constate que la terre continue de tourner, et même Ground Zero est bientôt reconstruit...


Autre escapade obligée, un petit tour à Brooklyn et son quartier bobo Williamsburg. Des petits cafés, magasins de disques et boutiques de fringues deuxième main hallucinantes. On peut revenir à pied à Manhattan via le pont de Brooklyn ou celui de Williamsburg, points de vue magnifique pour photographier encore et encore la skyline... Vous constatez aussi qu'on a eu un temps magnifique toute la semaine, yeah!


Mes petits amis les écureuils, omniprésents dans tous les parks (ici Union Square, j'ai pas eu le temps d'aller à Central Park). Ils ne sont pas farouches et viennent facilement jusqu'à vos pieds ou sur les barrières mais ils sont si rapides qu'il faut vraiment avoir du bol pour les capturer en photo! Toujours plus charmants que les rats de Chinatown (véridique).


Grand moment aussi, une visite au sommet d'un gratte-ciel, ici le Rockfeller Center. C'est moins cher que l'Empire State Building (21$), y'a moins de monde et c'est même mieux car du coup, on le voit, le fameux perchoir de King Kong! Prévoir quand même une petite heure d'attente. La montée en ascenseur est une attraction à elle seule, avec la lumière qui s'éteint, le plafond qui devient transparent et les étages qui défilent au rythme des petites lumières bleues jusqu'au 70e avec une musique de science-fiction...


Le fameux magasin Bond no 9 et ses parfums haut de gamme (360 fr le 100ml en Suisse je crois, 170$ le 50 ml là-bas). Le principe? Capturer l'identité olfactive de chaque quartier de la ville pour en faire une eau de toilette. J'ai retrouvé Brooklyn dans mon stock, avec un joli flacon graffiti et une odeur assez masculine (grapefruit, cèdre, cardamome, géranium) et Little Italy, qui sent la mandarine à plein nez. J'avais donné Hamptons à ma copine Marie qui est devenue accro. Il me semble que mon préféré, c'était Park Avenue!



Le Café Select à Soho, et sa boîte aux lettres suisse! Une petite pensée pour la Heimat au milieu de ce tourbillon cosmopolite où les Français sont omniprésents avec leurs brasseries et leurs pâtisseries... J'ai eu de la peine à trouver des endroits où prendre un vrai petit déjeuner américain avec oeufs brouillés et pancakes, il y a des croissants et des pains au chocolat partout. Hé, je veux juste un muffin ou un bagel et une choppe de thé au lait, c'est possible?



Evidemment on ne se lasse pas des énormes pick-ups, des camions rutilants, des taxis jaunes et des school bus complètement anachronique au milieu du trafic.



Bien sûr, à quelques semaines d'Halloween, les citrouilles étaient partout dans la ville et les maisons déjà décorées pour l'occasion... Chez nous, le orange et les toiles d'araignées ont moyennement pris dans la population, il me semble que les grands magasins en font de moins en moins... Dommage, moi j'aime bien!!!


Et une dernière pas très ragoûtante: oui, ça fait mal aux pieds de marcher 10 à 12 heures par jour!

dimanche 17 octobre 2010

Back from New York

Hello hello, pardon pour tout ce temps sans billet mais j'étais à New York, yesssssssss! Evidemment, c'était dingue, et je vais sûrement la ramener sans arrêt dans les prochains jours mais bon quand même, je n'ai pas eu le coup de foudre... New York n'a pas réussi à détrôner Londres dans mon coeur, je préfère définitivement le raffinement anglais à la familiarité américaine, et puis Londres est quand même bien plus rock'n'roll, y'a pas photo comme on dit!

Je n'ai pas non plus de découverte renversante à vous faire partager question beauté. Faut dire qu'à la base, je suis pas méga fan des marques américaines. Je connais assez peu les produits Kiehl's, Origins, les dr brands et je ne fétichise absolument pas Estée Lauder. Je n'ai même pas profité de ce séjour pour renouveler mon stock Benefit car j'achète cette marque surtout pour les packagings et je ne l'utilise presque pas! Ce sont plutôt les marques françaises qui cartonnent en Amérique!

Mon seul achat cosmétique a donc été ce rouge à lèvre et cet eyeliner Anna Sui, aussi pour le packaging. On trouvait le maquillage Anna Sui un temps en Suisse puis il a disparu, à mon grand désespoir. Je conserve quelques tubes comme des reliques, je garde précieusement le poudrier, deux rouges à lèvres, trois vernis... Je suis tombée sur ces deux merveilles chez Urban Outfitters où je suis restée une heure à tout regarder même si ce sont les mêmes étalages à Londres, à Stockholm ou à Bristol (je suis allée dans chacun d'eux...). Voilà! A l'intérieur des jolies boîtes fleuries, ceci:


Voilà! J'avais besoin d'un eyeliner, mon stylo MAC ayant séché à la vitesse de l'éclair et je ne sais pas manier le crayon. Donc on verra si celui-ci fera mon affaire. Quant au rouge, il va rejoindre ma collection et attendra patiemment son tour d'être porté, peut-être, un jour selon l'humeur!


Question shopping en général, je n'ai vraiment pas été bluffée et j'ai été plus que raisonnable (alors que quand je vais à Londres, j'ai envie de TOUT acheter). J'ai quand même craqué pour les nouveaux Levis' Curve à moins de 60 $ là-bas, j'en ai essayé un sans conviction et ô miracle, il m'allait! J'ai mis 3 heures aussi à choisir LE T-shirt rétro rigolo de Coney Island (je les voulais tous) ainsi qu'un hoodie vert militaire Coney Island Brooklyn (je sais, c'est kitsch!). La seule boutique où j'ai fait chauffer la Visa, c'est Enz's, toute petite et il faut sonner pour entrer, mais quelles merveilles à l'intérieur! Il y avait plein de robes Stop Staring, des petites trousses tattoo et des bijoux super beaux avec des têtes de mort en bakélite. Un peu cher mais c'est le seul spot qui m'a emballé. J'ai acheté une robe 40's, un cardigan et un T-Shirt avec un dessin de Sylvia Ji que j'avais cherché partout... L'esprit de Carrie Bradshow ne m'a donc pas frappé, comme le craignait mon bonami qui a été bien plus dépensier que moi! Pas de Manolo ni de Louboutin, pas vu l'ombre d'un magasin de chaussures dignes de ce nom. J'aurai peut-être dû remonter la Cinquième avenue un peu plus haut que le no 230 et son incroyable Roof Bar... La suite au prochain épisode!



edit: j'ai trouvé un super report sur la boutique chez Jasmin, une blogueuse et artiste fan de vintage, enjoy!

lundi 4 octobre 2010

Problème d'hydratation

Les filles, l'heure est grave... Depuis toujours, je sais que j'ai la peau sèche et je la soigne en conséquence. J'utilise les meilleurs produits du genre et ce n'est pas peu dire. Mais voilà, par deux fois dernièrement, une esthéticienne me dit que ma peau est GRAVEMENT déshydratée et que ça se remarque à mes ridules de sécheresse autour des yeux et de la bouche. QUOI???????? DES RIDULES??? ça y est, le mal est fait, je suis désespérée en plus d'être déshydratée... Que faire???? La première m'a fait un diagnostic de peau et m'a dit qu'elle manquait de lipides, que je devais utiliser une crème de nuit plus riche. Je mets souvent de l'huile d'argan ou un autre mélange Decléor, ou encore le concentré très précieux à l'immortelle de L'Occitane, so what? La seconde m'a carrément fait un test de ph avec différentes lotions et son verdict est plus nuancé: ma peau serait équilibrée mais elle ne garde pas assez l'eau, je devrais utiliser une crème hydratante et non nourrissante... Bouhhhh. Ces temps, j'utilise (entre autres) ça:

Mon fameux sérum anti-soif (ANTI-SOIF, c'est bien ce qu'il faut, non?) Clarins que j'adore, plus une crème suisse Alpéor hyper chère et hyper bien à l'edelweiss Secret des Cimes, plus un soin contour des yeux très riche et flouteur de rides Kenzoki... La crème de la crème, bon sang!

Je suis perplexe... Peut-être que je ne bois pas assez d'eau dans la journée, pourtant je me tape mon litre et demi et ma nourriture est équilibrée avec beaucoup de poissons gras pour les Oméga3... Je fume peu, je bois parfois un peu trop, je me démaquille tous les soirs et je fais des masques régulièrement. Alors quoi? Aidez-moi les filles, qui a aussi ce problème?

En attendant je change de routine avec ce nouveau trio de choc: la crème d'eau à la tomate de cette nouvelle marque ensorcelante Garancia, la version pour les yeux de l'Advanced Night Repair d'Estée Lauder (un produit mythique) et une crème de nuit super reconstituante aux huiles essentielles Delarom... Verdict dans quatre semaines... Pfffff, dur dur d'être une fille, non?